PLUS DE 100 COMMUNES S’OPPOSENT À LA 5G

Publié le par Résistance verte

 

À ce jour, nous avons recensé 112 communes, représentant plus de 5 millions de personnes (5.121.725), qui se sont prononcées pour un moratoire sur le déploiement de la 5G ou simplement opposées à la 5G.
Pour nous signaler une commune ne figurant pas ci-dessous et ayant pris position contre la 5G, nous écrire à nicolas[at]lagedefaire-lejournal.fr

    •    Assemblée de Corse, 334 938 habitant·es : Le 31 juillet 2020, l’Assemblée de Corse a voté à l’unanimité des votant·es une demande de moratoire sur le déploiement de la 5G. Pour expliquer son choix, elle met notamment en avant la défense de l’environnement, la lutte contre le dérèglement climatique et la nécessité d’avoir plus d’informations sur les impacts sanitaires que pourrait avoir cette technologie.
    •    Région Occitanie, 5.845.102 habitant·es : le 19 novembre 2020, la Région a émis un vœu réclamant l’instauration d’un moratoire sur le déploiement de la 5G au niveau national en attente des «des conclusions des études de l’ARCEP et de l’ANSES et tant qu’un débat démocratique avec les citoyens et scientifiques permettant d’approfondir les impacts écologiques et sanitaires de la 5G et d’évaluer l’utilité sociale des usages de la 5G n’aura pas été mené».
    •    Communauté d’agglomération Hénin-Carvin, 125 453 habitant·es : la CAHC a approuvé le 17 décembre 2020 une motion «contre le déni de démocratie, d’information, et de transparence infligé par l’Etat et les opérateurs aux citoyens français et aux élus locaux sur le déploiement de la 5G».
    •    Ambares et Lagraves (33), 15 881 habitant·es : le 2 novembre 2020, le conseil municipal a voté à l’unanimité une motion pour demander un moratoire sur la 5G, rappelant que «l’inflation numérique doit nous amener à réfléchir d’urgence à nos besoins et à nos usages en la matière. Et ce choix ne doit être ni celui d’opérateurs, ni même celui d’experts, mais bien un choix de l’ensemble des citoyennes et citoyens».
    •    Annonay (07), 16 288 habitant·es : la commune a instauré un moratoire sur son territoire en attendant d’avoir plus d’information sur les impacts de cette technologie.
    •    Ascain (64), 4 231 habitant·es : la municipalité a voté le 29 septembre à l’unanimité en faveur d’un moratoire «sur le déploiement de la 5G et donc sur la délivrance aux opérateurs des autorisations pour son exploitation tant que les études scientifiques sur les impacts sanitaires et environnementaux n’ont pas abouti».
    •    Aulnoye-Aymeries (59), 8 767 habitant·es : le conseil municipal a voté en décembre 2020 une motion pour s’opposer au déploiement de la 5G et contre l’implantation d’une antenne sur son territoire.
    •    Avignon (84), 91 921 habitant·es : la maire de cette commune a déclaré souscrire «à l’idée d’un moratoire au moins jusqu’au rendu de ce rapport de l’ANSES».
    •    Avon (77), 13 662 habitant·es : la municipalité a voté en janvier 2021 en faveur d’un moratoire sur la 5G, souhaitant notamment attendre les résultats de l’étude de l’ANSES sur «les conséquences biologiques et sanitaires du déploiement de cette technologie».
    •    Ayherre (64), 1 068 habitant·es : dans ce petit village d’un peu plus d’un millier d’habitant·es, une association a recueilli plus de 200 signatures réclamant un moratoire sur la 5G. Le 8 février 2021, le conseil municipal a pris une délibération en ce sens, demandant en outre «dans une logique d’écoconception des services, d’évaluer les avantages et les inconvénients de la 5G par rapport notamment à la fibre».
    •    Bailleul (59), 15 019 habitant·es : le conseil municipal a voté le 17 décembre 2020 en faveur d’un moratoire national sur la 5G, mettant en avant les questions relatives à la santé et à l’environnement.
    •    Beaumont (63), 10 793 habitant·es : dans une délibération du 9 décembre 2020, le conseil municipal a voté à l’unanimité «le vœu pour la mise en place d’un moratoire sur l’installation d’antennes 5G».
    •    Bergerac (24), 26 823 habitant·es : rappelant notamment que «le déploiement de la 5G va nécessiter de renouveler prématurément les téléphones mobiles en cours d’utilisation ou en vente en France et donc accélérer l’exploitation de ressources naturelles rares, non renouvelables et dont l’extraction engendre une importante pollution, sans parler des droits humains bien souvent bafouées», la municipalité a voté le 12 novembre 2020 pour un moratoire sur la 5G.
    •    Besançon (25), 115 934 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Biriatou (64), 1 218 habitant·es : la municipalité s’est prononcée le 25 septembre 2020 pour l’instauration d’un moratoire «tant que les études scientifiques sur les impacts sanitaires et environnementaux n’ont pas abouti».
    •    Blois (41), 46 086 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander  «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Bordeaux (33), 254 436 habitant·es : le conseil municipal a émis en vœu, le 29 septembre 2020, « pour une étude d’impact préalable au déploiement de la 5G à haute fréquence, et le lancement d’un grand débat citoyen ». Il réclame notamment « qu’un débat public sur la 5G soit enclenché au niveau local et national afin d’avancer en toute transparence sur ce sujet ». Le maire a également signé la tribune du 12 septembre 2020.
    •    Bouguenais (44), 19 658 habitant·es : la municipalité s’est prononcée le 15 décembre 2020 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G en attendant les rapports d’expertise sur ses impacts sanitaires en environnementauxet la tenue d’un débat citoyen.
    •    Bourg-en-Bresse (01), 41 527 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Bourges (18), 64 668 habitant·es : le conseil municipal a voté le 17 décembre une motion pour réclamer «dans l’immédiat un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021» et «la tenue d’un débat démocratique décentralisé sur la 5G et sur les usages numériques».
    •    Bressey-sur-tille (21), 1 113 habitant·es : alors qu’un accord avait été trouvé entre la municipalité et un opérateur pour implanter une antenne de 43 mètres de haut, la nouvelle majorité a annulé cette décision lors du conseil municipal du 10 juillet, en précisant que le maire «ne signera pas pour la 5G».
    •    Brinon (58), 181 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Carmaux (81), 9 641 habitant·es : la municipalité a voté le 17 décembre 2020 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G, en mettant en avant l’absence de débat public, ainsi que l’absence d’évaluation des impacts sanitaires et environnementaux.
    •    Cenon (33), 24 547 habitant·es : le conseil municipal a adopté le 28 septembre 2020, à l’unanimité, une motion demandant un moratoire sur la 5G, estimant notamment que «l’empressement au déploiement de la 5G montre que l’objectif n’est pas d’intérêt général mais d’intérêt financier. Celui-ci, plutôt que d’utiliser cette vitesse d’exécution et de transfert de données comme une amélioration du confort quotidien, oppressera encore davantage les populations, en utilisant cette accélération comme unique gain de productivité».
    •    Champagnier (38), 1 226 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Champ-sur-Drac (38), 3 007 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Chateldon (63), 773 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Clermont-Ferrand (63), 146 734 habitant·es : dans une délibération du 25 septembre 2020, le conseil municipal rappelle que «la 5G n’est pas qu’une accélération des débits de la téléphonie mobile actuelle. Elle constitue une technologie de rupture vers une société de l’ultra-connectivité et à ce titre, elle implique un choix et un débat de société». La municipalité a donc décrété un moratoire sur la 5G.
    •    Colombes (92), 86 052 habitant·es : la municipalité s’est prononcée en novembre 2020 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G et l’organisation d’un débat citoyen.
    •    Couëron (44), 20 573 habitant·es : le conseil municipal a demandé le 14 décembre 2020 un moratoire sur le déploiement de la 5G tout en s’engageant «à appliquer ce moratoire sur son territoire». «Est-il encore raisonnable aujourd’hui, alors que la nécessaire décarbonation de notre environnement fait consensus, de ne pas mettre en balance le supplément de service rendu par la 5G avec les inconvénients environnementaux et sociaux additionnels de ce nouveau réseau», interroge la municipalité dans le texte de son vœu.
    •    Courrières (62), 10 544 habitant·es : le 10 décembre 2020, le conseil municipal a adopté une motion «contre le déni de démocratie infligé par l’état aux citoyens et aux élus locaux sur le déploiement de la 5G». Il exige notamment que le gouvernement «organise un grand débat public national autour des attentes de notre société quant au déploiement de la 5G».
    •    Dieulefit (26), 3 159 habitant·es : la municipalité a voté le 14 septembre 2020 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Dun-sur-Meuse (55), 661 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Echirolles (38), 36 961 habitant·es : prenant en considération l’exposition du public aux champs électromagnétiques, les conséquences environnementales, l’augmentation de la consommation d’énergie ainsi que l’absence de débats démocratique, la municipalité a voté le 2 novembre 2020 une délibération pour demander que «le déploiement de la 5G soit stoppé jusqu’en juin 2021».
    •    Faches-Thumesnil (59), 17 835 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Fontenay-sous-Bois (94), 52 939 habitant·es : le maire Jean-Philippe Gautrais a pris un arrêté pour suspendre le déploiement de la 5G au moins jusqu’à ce que soient finalisées des études officielles sur les impacts environnementaux et sanitaires de cette technologie.
    •    Fos (31), 237 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Grabels (34), 8 430 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Grenoble (38), 158 454 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Hendaye (64), 16 328 habitant·es : estimant que «le principe de précaution doit en tout état de cause prévaloir en matière de santé publique mais aussi de conséquences sur l’environnement et le climat», le conseil municipal s’est prononcé le 26 août 2020 à l’unanimité en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Holtzheim (67), 3 656 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Ingersheim (68), 4 676 habitant·es : la maire de la commune a pris un arrêté en date du 15 janvier interdisant le déploiement de la 5G jusqu’au rendu des conclusions de l’étude en cours de l’Anses.
    •    Itxassou (64), 2 184 habitant·es : le 19 novembre 2020, le conseil municipal a voté une délibération pour solliciter un moratoire sur le déploiement de la 5G en attendant «les résultats des travaux d’expertise de l’ANSES» et «le résultat des évaluations de l’ADEME quant à l’impact énergétique et climatique généré par le déploiement de la 5G».
    •    Izon (33), 5 878 habitant·es : le conseil municipal a voté le 25 novembre 2020 à l’unanimité une motion «afin de sursoir à toute implantation d’antennes de téléphonie sur son territoire et demande la tenue d’un débat plus large sur le déploiement de la 5G».
    •    Jaujac (07), 1 186 habitant·es : la municipalité s’est prononcée le 15 mars 2021 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G, considérant notamment «qu’aucune étude d’impact globale prenant en compte les dimensions climatiques, environnementales, sanitaires et technologiques» n’a été publiée jusqu’ici.
    •    La Bégude-de-Mazenc (26), 1 661 habitant·es : lors du conseil municipal du 5 octobre 2020, considérant, notamment, «qu’il est nécessaire au préalable d’ouvrir un débat public» sur le sujet de la 5G, la municipalité a voté en faveur d’ «un moratoire sur l’implantation des infrastructures et équipements 5G».
    •    La Chapelle Moulière (86), 705 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    La Chapelle-sur-Erdre (44), 19 609 habitant·es : la municipalité a décidé le 14 décembre 2020 d’un moratoire sur la 5G.
    •    La Grigonnais (44), 1 693 habitant·es : la commune s’est prononcée en janvier 2021 pour l’instauration d’un moratoire sur la 5G, déclarant notamment vouloir s’opposer «fermement à la multiplication et au déploiement anarchique des antennes».
    •    Lahonce (64), 2 462 habitant·es : le 7 décembre 2020, le conseil municipal s’est prononcé «en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G», expliquant notamment que, «à Lahonce comme ailleurs, les projets d’installation d’antennes (…) inquiètent la population, d’autant plus que toutes les études d’impact biologique et sanitaires ne sont toujours pas achevées».
    •    La Montagne (44), 6 231 habitant·es : le conseil municipal a voté le 30 septembre 2020 en faveur d’un moratoire «sur la mise en place des infrastructures et équipements relevant des technologies 5G».
    •    La Roche-Saint-Secret (26), 452 habitant·es : le conseil municipal s’est prononcé en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Larreule (65), 410 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Le Poet Laval (26), 933 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Le Pouliguen (44), 4 145 habitant·es : le journal Ouest France indique le 5 janvier que «l’équipe municipale souhaite engager sur le territoire communal une réflexion sur le 5G en organisant un débat public au sein de la commune et des conférences. Ainsi, le conseil propose se surseoir à toutes demandes d’autorisation d’implantation liées à la technologie de la 5G».
    •    Lercoul (09), 22 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Lille (59), 232 787 habitant·es : le conseil municipal a adopté le 9 octobre 2020 une délibération pour instaurer un moratoire sur le déploiement de la 5G, « au moins jusqu’à la publication du rapport attendu de l’ANSES en 2020 ». Il réclame en outre qu’«un grand débat métropolitain soit organisé sur ce sujet de société d’ici la fin de l’année 2020, impliquant acteurs publics, privés, experts et citoyens».
    •    Limay (78), 16 820 habitant·es : le conseil municipal a voté en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G, au moins jusqu’à la remise du rapport de l’Anses. «On peut se passer de la 5G. La fibre optique permet déjà de répondre à la demande actuelle», affirme Djamel Nedjar, adjoin au maire, chargé de l’urbanisme, dans les colonnes du Parisien.
    •    Loos-en-Gohelle (62), 6 855 habitant·es : c’est notamment grâce à l’intervention de «deux représentants d’un collectif anti-5G, le même qui s’était opposé au compteur Linky», que la municipalité a rédigé une motion sur la 5G. Le maire souhaite qu’un débat public puisse avoir lieu préalablement à un éventuel déploiement.
    •    Lyon (69), 516 092 habitant·es : le conseil municipal a émis un vœu le 28 septembre 2020, en faveur d’un « moratoire sur la mise en place des infrastructures et équipements relevant des technologies 5G ». Le texte demande notamment que « la Ville de Lyon se saisisse des moyens à sa disposition pour empêcher le déploiement de la 5G sur son territoire dans l’attente de la tenue d’un débat démocratique décentralisé sur la 5G et les usages numériques ». Le maire a également signé la tribune du 12 septembre 2020.
    •    L’Union (31), 11 715 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Malakoff (92), 30 720 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Marçais (18), 282 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Marseille (13), 863 310 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Mauléon-Licharre (64), 2 954 habitant·es : le conseil municipal a adopté le 7 décembre 2020 une motion demandant que «le gouvernement instaure un moratoire (…) tant qu’un débat réellement démocratique (…) n’aura pas été organisé». Il souhaite aussi que «la commune applique ce moratoire sur son territoire» et que «la priorité soit donnée à la réduction de la fracture numérique, à travers le développement de la fibre».
    •    Mercuer (07), 1 203 habitant·es : c’est comme souvent un projet d’implantation d’une nouvelle antenne qui a d’abord mobilisé les riverain·es, lesquel·les ont monté un collectif et alerté leurs élu·es. Résultat : le 11 janvier 2021, tout en émettant un avis défavorable à la construction de l’antenne, le conseil municipal s’est prononcé en faveur d’un «moratoire national sur le déploiement de la 5G».
    •    Mérignac (33), 70 105 habitant·es : le conseil municipal à l’unanimité a adopté le 5 octobre une délibération pour demander au gouvernement un moratoire en attendant « la réalisation d’une étude globale et indépendante sur les impacts climatiques, environnementaux, sanitaires, technologiques et financiers de la 5G », ainsi que l’organisation d’un débat public. Il souhaite également que les communes concernées « soient consultées avant la mise en œuvre effective » de la 5G.
    •    Millau (12), 22 002 habitant·es : la ville s’est prononcée contre le déploiement de la 5G, «en accord avec la Convention Citoyenne pour le Climat», et demande «au gouvernement d’initier un débat démocratique décentralisé en forme de moratoire, avant d’imposer ce grand déploiement de la 5G sur l’ensemble du territoire».
    •    Mitry-Mory (77), 19 931 habitant·es : la municipalité refuse l’installation de la 5G au moins tant que l’Anses n’a pas remis son rapport sur les risques que cette technologie fait courir sur la santé humaine.
    •    Moëlan-sur-Mer (29), 6 765 habitant·es : suite à un débat citoyen organisé sur la commune le 19 septembre 2020, le conseil municipal a adopté un vœu demandant un moratoire sur le déploiement de la 5G «en attendant les conclusions des études sanitaires et environnementales» et précisant «qu’en l’attente, la commune de Moëlan-sur-Mer souhaite être considérée territoire “hors 5G”».
    •    Montjoux (26), 332 habitant·es : le conseil municipal a voté le 7 septembre 2020 en faveur d’un moratoire sur la 5G. En outre, ce vœu demande la réforme de la loi Elan afin de rendre de nouveau obligatoire pour les opérateurs le dépôt d’un «Dossier d’Information auprès de la Mairie (Demande de D.I.M.), rendant ensuite disponible toutes les informations techniques du projet d’implantation (seuils d’exposition, hauteur du mât, etc.) publiques auprès de la Mairie afin d’en informer les habitant(e)s et recueillir leurs observations».
    •    Muncq-Nieurlet (62), 734 habitant·es : le conseil municipal a voté en février 2021 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Nantes (44), 314 138 habitant·es : la municipalité a voté en faveur d’un moratoire et organise un débat public avant de donner ou non son feu vert aux opérateurs de téléphonie mobile.
    •    Noisy-le-Sec (93), 44 223 habitant·es : une délibération, adoptée à l’unanimité le 5 novembre 2020 pour réclamer un moratoire, explique, notamment, que «aucune des solutions aux grands problèmes de nos sociétés (lutte contre la pauvreté, crise écologique, inégalités, accès à l’éducation ou à l’alimentation saine, stress et anxiété, maladies chroniques, etc.) ne nécessite l’usage de la 5G pour être mise en œuvre». Le 19 mars 2021, le maire a ensuite signé un arrêté pour suspendre «le déploiement des antennes-relais 5G sur le territoire de Noisy le Sec (…) jusqu’à la publication du rapport de l’Anses relatif au “Déploiement de la technologie de communication 5G et effets sanitaires associés” et jusqu’à ce qu’une évaluation environnementale préalable soit menée à bien».
    •    Orvault (44), 25 634 habitant·es : le 14 décembre 2020, la commune a émis un vœu pour demander un moratoire sur la 5G, notamment pour «donner le temps aux scientifiques de mener à terme leurs études» sur les impacts de la 5G et ainsi «permettre un débat objectif».
    •    Paris 12e (75), 141 287 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Périgny (17), 8 130 habitant·es : le conseil municipal a adopté le 17 novembre 2020 une délibération portant sur un moratoire sur la 5G, la maire étant chargée de «faire remonter [les] inquiétudes auprès du représentant de l’état».
    •    Persan (95), 13 386 habitant·es : la mairie s’oppose, dans les conditions actuelles, au déploiement de la 5G, refusant notamment la construction d’une antenne à l’opérateur Orange.
    •    Peyrins (26), 2 690 habitant·es : le conseil municipal s’est prononcé le 16 décembre 2020 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G, préconisant au contraire de se tourner vers la sobriété numérique, qui «nous paraît tout à fait compatible avec le justice sociale et l’égalité sociale puisque les individus auront moins à renouveler leurs équipements numériques, pourront davantage les faire réparer et seront moins incités à consommer des équipements et flux numériques payants. Sortir de la surconsommation numérique aura un effet positif sur le pouvoir d’achat des plus modestes».
    •    Pleyber-Christ (29), 3 139 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé
    •    Pointe-à-Pitre (971), 15 923 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Poitiers (86), 88 291 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Pont-Chretien-Chabenet (36), 925 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Portet-sur-Garonne (31), 9 791 habitant·es : à l’occasion du conseil municipal du 2 décembre 2020, la municipalité, considérant notamment «qu’aucune étude d’impact globale prenant en compte les dimensions climatiques, environnementales, sanitaires et technologiques n’a été publiées jusqu’ici», s’est prononcée à l’unanimité en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Quimperlé (29), 12 188 habitant·es : la municipalité a voté le 24 septembre une motion pour soutenir la demande de moratoire formulée par la convention citoyenne pour le climat «tant que les études scientifiques ne seront pas achevées».
    •    Ramonville Saint-Agne (31), 13 829 habitant·es : le 15 octobre 2020, le conseil municipal a adopté un moratoire sur le déploiement de toute antenne 4G et 5G «en attente d’une processus de débat contradictoire que la commune organisera avec les citoyens». Il a également été décidé «la constitution d’un groupe de travail dans lequel seront associés les élus de l’opposition qui le souhaitent afin de mettre en place ce débat citoyen».
    •    Rennes (35), 216 815 habitant·es : le conseil municipal a décidé d’interdire au moins provisoirement le déploiement de la 5G sur son territoire. Parallèlement, il a mis en place une mission d’étude sur la 5G qui doit rendre ses conclusions fin mars 2021 après avoir organisé des ateliers et un débat public.
    •    Rezé (44), 42 368 habitant·es : la municipalité a émis le 25 septembre 2020 un vœu de moratoire sur le déploiement de la 5G, craignant notamment que la mise en place de cette technologie ne conduise qu’à accentuer la fracture numérique.
    •    Rions (33), 1 556 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Rouen (76), 111 360 habitant·es : le 28 septembre 2020, la majorité a voté une motion établissant «un moratoire sur la 5G pour prévenir un déploiement écocide à l’impact non mesuré» et «interdisant l’installation de nouvelles antennes relais liées au déploiement ou à l’expérimentation de cette technologie», au moins jusqu’à ce que l’Anses et l’Ademe puissent rendre les résultats de leurs études.
    •    Rouvroy (62), 8 912 habitant·es : «En comparant les opposants à la 5G à des défenseurs du “modèle Amish”, [le président de la République]a réduit le débat à une opposition culturelle stérile entre partisans et pourfendeurs du progrès», s’émeut le conseil municipal dans une délibération du 11 décembre à travers laquelle il réclame un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Saint Egrève (38), 15 838 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Saint-Germain-au-Mont-d’Or (69), 3 085 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Saint-Herblain (44), 46 352 habitant·es : le 9 octobre 2020, la municipalité a voté en faveur d’un moratoire sur la 5G : «En effet, à l’instar de la proposition de la Convention citoyenne pour le climat, il semble nécessaire de laisser du temps à la réalisation des études d’impacts de cette nouvelle évolution technologique».
    •    Saint-Hilaire-de-Riez (85), 11 179 habitant·es : lors du conseil municipal du 15 février 2021, la municipalité a voté pour «l’annulation des autorisations d’utilisation de fréquences 5G et la mise en place d’un moratoire» ainsi que l’organisation «d’un débat public sur la 5G au niveau local et national afin d’avancer en toute transparence sur ce sujet».
    •    Saint-James (50), 4 902 habitant·es : le maire déplore de ne pas disposer «d’étude précise sur l’impact de la 5G sur la santé et l’environnement». La commune a donc demandé un moratoire.
    •    Saint-Jean-de-Boiseau (44), 5 827 habitant·es : le conseil municipal s’est prononcé en octobre 2020 à l’unanimité en faveur d’un moratoire. La municipalité s’engage dans le même temps à «mettre en place un groupe de travail avec les citoyens pour examiner les options de déploiement des pylônes [et] collecter et diffuser les informations pertinentes sur les effets éventuels de la 5 G sur la santé».
    •    Saint-Loubès (33), 9 509 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Saint-Maixent-l’Ecole (79), 6 982 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Saint-Marcel-les-Annonay (07), 1 403 habitant·es : le conseil municipal a voté à l’unanimité, le 22 février 2021, en faveur d’un moratoire sur la 5G «tant qu’un débat démocratique sur les impacts écologique et sanitaire n’aura pas été mené».
    •    Saint Martin d’Arberoue (64), 324 habitant·es : faisant valoir le principe de précaution, et déplorant la façon dont un opérateur souhaite installer une antenne 5G sans l’avis de la municipalité, cette dernière a voté à l’unanimité, le 26 février 2021, une délibération réclamant un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Saint-Médard-en-Jalles (33), 31 145 habitant·es : le conseil municipal a voté le 30 septembre 2020 une délibération pour faire part de ses inquiétudes quant aux conséquences sanitaires et environnementales de cette technologie, et demandant à la métropole d’étudier «l’implantation de zones blanches» dans la commune.
    •    Saint-Pée-sur-Nivelle (64), 6 849 habitant·es : le conseil municipal s’est positionné le 8 octobre 2020 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G afin de laisser du temps à un «débat scientifique».
    •    Saint-Philbert-sur-Risle (27), 787 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Saint-Pierre-du-Vauvray (27), 1 282 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Saint-Vallier (26), 3 937 habitant·es : le 14 décembre 2020, le conseil municipal a voté à l’unanimité un vœu pour réclamer un moratoire sur le déploiement de la 5G et pour que ce moratoire s’applique sur son territoire, «en vertu du droit à la subsidiarité concernant l’application du principe de précaution»
    •    Strasbourg (67), 280 966 habitant·es : la maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander «un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021», et jusqu’à ce qu’un «débat démocratique décentralisé» ait été organisé.
    •    Tours (37), 135 787 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Ustaritz (64), 6 818 habitant·es : le 24 septembre 2020, le conseil municipal s’est prononcé à l’unanimité «en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G et donc sur la délivrance aux opérateurs des autorisations pour son exploitation tant que les études scientifiques sur les impacts sanitaires et environnementaux n’ont pas abouti».
    •    Veyras (07), 1 520 habitant·es : citant l’Anses, qui pointe «un manque important, voire une absence de données relatives aux effets biologiques et sanitaires potentiels dans les bandes de fréquences considérées», le conseil municipal de Veyras s’est prononcé le 6 avril 2021 en faveur d’un moratoire sur le déploiement de la 5G.
    •    Villeneuve-d’Ascq (59), 63 408 habitant·es : le conseil municipal a voté le 13 octobre 2020 une motion réclamant l’application d’un moratoire « sur l’implantation des infrastructures de réseau 5G sur son territoire », et cela «tant qu’un débat démocratique sur les impacts écologiques et sanitaires n’aura pas été mené pour mettre en balance les inconvénients et les suppléments de service rendus par cette technologie».
    •    Villeparisis (77), 26 322 habitant·es : «Apparemment, on n’a pas le droit de parler de la 5G. Or les citoyens se posent des questions. Il y a donc obligation d’organiser un débat», dénonce le maire Frédéric Bouche au journal La Marne. En attendant, la municipalité a décidé de ne pas autoriser la 5G sur sa commune.
    •    Villeurbanne (69), 147 712 habitant·es : le maire de cette commune a signé le 12 septembre 2020 une tribune pour demander « un moratoire sur le déploiement de la 5G au moins jusqu’à l’été 2021 », et jusqu’à ce qu’un « débat démocratique décentralisé » ait été organisé.
    •    Yerres (91), 29 338 habitant·es : «Il y a un flou et nous avons préféré prendre un moratoire par principe de sécurité sanitaire», a expliqué le maire au journal Le Parisien.
    
[Vous connaissez des communes opposées à la 5G ? Écrivez-nous à l’adresse suivante : sexylinky@refuser-compteur-linky.fr ]

Élu·es

Liste des député·es et sénateurs signataires de la tribune du 12 septembre 2020 réclamant un moratoire sur le déploiement de la 5G :
    •    Manon Aubry, députée européenne (FI)
    •    Delphine Batho, députée des Deux-Sèvres (GE)
    •    Esther Benbassa, sénatrice de Paris (EELV)
    •    Manuel Bompard, député européen (FI)
    •    Damien Carême, député européen (EELV)
    •    Leïla Chaïbi, députée européenne (FI)
    •    Alexis Corbière, député de Seine-Saint-Denis (FI)
    •    David Cormand, député européen (EELV)
    •    Karima Delli, députée européenne (EELV)
    •    Frédérique Dumas, députée des Hauts-de-Seine (groupe Liberté et territoires)
    •    Caroline Fiat, députée de Meurthe-et-Moselle (FI)
    •    Guillaume Gontard, sénateur de l’Isère (DVG)
    •    Claude Gruffat, député européen (écologiste)
    •    Yannick Jadot, député européen (EELV)
    •    Bastien Lachaud, député de Seine-Saint-Denis (FI)
    •    Michel Larive, député de l’Ariège (FI)
    •    Jean-Luc Mélenchon, député des Bouches-du-Rhône (FI)
    •    Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne (FI)
    •    Anne-Sophie Pelletier, députée européenne (FI)
    •    Loïc Prudhomme, député de la Gironde (FI)
    •    Adrien Quatennens, député du Nord (FI)
    •    Jean-Hugues Ratenon, député de la Réunion (FI)
    •    Michèle Rivasi, députée européenne (EELV)
    •    François Ruffin, député de la Somme (FI)
    •    Mounir Satouri, député européen (EELV)
    •    Sophie Taillé-Polian, sénatrice du Val-de-Marne (G.s)
    •    Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège (FI)
    •    Jennifer de Temmerman, députée du Nord (EDS)
    •    Marie Toussaint, députée européenne (EELV)


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