DE NOMBREUX MÉDECINS DÉNONCENT
UN GROS DOSSIER
Le samedi 25 juillet, l’association « Médicos por la Verdad » (Médecins pour la vérité) a présenté une conférence remettant en cause la version officielle du Coronavirus. Plus de 140 professionnels de santé le composent, notamment les docteurs Natalia Prego Cancelo et Angel Ruiz-Valdepeñas en tant que chefs les plus visibles. La présentation a été faite dans une salle événementielle du Palacio de la Prensa à Madrid, où plus de 400 personnes étaient présentes.
L’événement a commencé par l’intervention de Heiko Schöning, représentant de la Commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona allemand et s’est terminé par un examen des 4 points fondamentaux d’enquête auprès du gouvernement et des autorités espagnoles par l’association Médicos por la Verdad.
https://guyboulianne.com/2020/07/30/a-linstar-de-lamericas-frontline-doctors-des-medecins-allemands-se-manifestent-contre-letat-durgence-sanitaire-frauduleux/
Avec des données, des chiffres et des analyses bien fondés, il a été révélé l’incohérence et l’erreur des décisions qui sont prises dans le monde pour lutter contre la pandémie de covid-19.
Des médecins prestigieux d’Argentine comme le Dr Chinda Brandolino, le Dr Mario Borini, le Dr Eduardo Yahbes, le Dr Ramiro Salazar des épidémiologistes argentins, entre autres, y ont également participé. La conférence s’est tenue le 25 juillet 2020 avec les orateurs suivants : le Dr Natalia Prego Cancelo, le Dr Rafael Gazo Lahoz, le Dr María José Martínez Albarracín, le Dr Angel Ruiz-Valdepeñas Herreros et le Dr Heiko Schöning.
Les thèmes abordés étaient les suivants : Les masques ne sont pas recommandés ; Le confinement de personnes en bonne santé n’est pas recommandé ; Les tests ne sont pas fiables donc les statistiques des infectés non plus ; Le nombre de décès n’est pas non plus fiable car, même si les patients ont des coronavirus, ils meurent généralement d’autres pathologie ; Des milliers de personnes sont mortes des mauvais traitements recommandés par l’OMS, principalement au début ; Après des autopsies en Italie, on a appris qu’ils étaient morts de caillots et d’inflammation pulmonaire, de sorte que les anticoagulants et les anti-inflammatoires sont recommandés.
Bien que l’Organisation mondiale de la santé ne l’admette pas, techniquement, l’épidémie est maintenant terminée car la mortalité a chuté de façon spectaculaire.
LES CONCLUSIONS DES MÉDECINS POUR LA VÉRITÉ
• L’opinion médicale n’est pas entendue.
• Nous ne sommes pas des négationnistes et nous reconnaissons l’existence de la maladie.
• La courbe d’épidémie, de contagion et de mortalité a chuté de façon spectaculaire.
• Les médecins donnent leur opinion avec rigueur scientifique, documentation et nous le faisons en donnant notre nom et prénom.
• Le dogmatisme est typique du Moyen Âge, il faut franchir cette étape et tout remettre en question pour que la science avance.
• La transmission se fait uniquement par les éternuements et la toux d’une personne présentant des symptômes, et non par l’air, les objets, l’eau, la parole ou la climatisation.
• Par conséquent, l’utilisation permanente de gants ou de masques n’est pas recommandée, car ils provoquent d’autres maladies cutanées et respiratoires.
• L’utilisation permanente d’un masque produit des maladies des voies respiratoires supérieures et inférieures, l’autocontamination, la prolifération de micro-organismes, la pneumonie.
• L’isolement général de la population saine n’est pas nécessaire, dans l’histoire de la médecine, seuls les malades ont été isolés avec de bons critères de sélection.
• De nombreuses personnes meurent de ne pas avoir reçu les soins médicaux appropriés. Cela aggrave encore le tableau de leur isolement pendant plusieurs mois, une situation immunosuppressive.
• L’OMS a eu une divulgation totalement irresponsable d’informations en diffusant des études scientifiques non prouvées, ce qui est éthiquement interdit.
• Les chiffres publiés confondent absolument la population mondiale. Ce n’est pas la même chose de dire que 500 personnes sont mortes que de dire que 0,0001 d’un pays est mort.
• Le dioxyde de chlore dispose d’une très bonne tolérance, il existe de nombreux témoignages de médecins et de patients qui révèlent une grande amélioration de leur santé, il a un large effet anti-infectieux pour les virus, les bactéries, les champignons et les parasites. La Bolivie a déjà officiellement autorisé son utilisation et en Espagne, nous demandons qu’une étude officielle soit lancée pour permettre son utilisation.
• L’hydroxychloroquine a de bons effets thérapeutiques mais c’est un rétroviral et a de nombreux effets secondaires indésirables, principalement cardiaques.
• En raison d’une mauvaise gestion de la situation dans la gestion de la santé, de nombreuses maladies graves ont été inutilement causées, dans de nombreux cas, entraînant la mort, en raison du manque de soins médicaux dans la population, qui auraient pu être fournis sans problèmes.
• Les tests PCR ne détectent pas les virus infectieux, mais détectent plutôt une partie du matériel génétique, mais pourraient provenir de virus des années précédentes ou de restes viraux de vaccins antigrippaux.
• Les soi-disant dépistés ne sont pas malades dans 95% de cas, bien que le test PCR soit positif, ce sont des personnes asymptomatiques.
• Les personnes asymptomatiques ne sont ni malades ni contagieuses.
• La situation est aggravée par le fait que les agents de santé ne reçoivent pas les éléments de protection basiques.
• Il est important de préciser que la plupart des médecins décédés avaient d’autres maladies antérieures, principalement cardiovasculaires,
• La même chose s’est produite avec le reste de la population générale décédée. 93% avaient plus de 80 ans et seulement 5% ont été traités.
• Ce n’est pas un virus mortel en soi, comme le virus Ebola ou l’anthrax. Cela peut aggraver une maladie antérieure, et s’il n’y a pas de soins médicaux appropriés, la mort peut en résulter.
• Les vaccins doivent avoir des années de recherche en plusieurs phases. Il n’est pas nécessaire de sortir immédiatement et de manière irresponsable un vaccin en urgence contre un virus qui n’est pas mortel.
• Contrairement à ce qui se fait, nous devons renforcer notre propre système immunitaire avec les rivières et les plages ouvertes, en plein air, avec joie et sans la peur causée par les mauvaises mesures sanitaires.
• Enfin, les médecins demandent à la presse et aux autorités gouvernementales leur responsabilité et leur conscience.
https://archive.org/details/la-rueda-de-prensa-de-medicos-por-la-verdad
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L’ÉPIDÉMIE EST TERMINÉE
LA PROPAGANDE DE LA PEUR S’INTENSIFIE
"Délire alarmiste”, “statistiques falsifiées”, “une deuxième vague mise en scène par les médias et les autorités”…
Le Pr Daniel Rodenstein est un médecin pneumologue belge à la retraite qui s’est exprimé dans les colonnes du site LeVif.be au sujet de l’épidémie de Coronavirus en Belgique et dans le monde. Il dénonce une “psychose” et des mesures contre la maladie “qui engendrent et engendreront les désastreuses conséquences”.
Le Docteur Pascal Sacré est médecin hospitalier anésthésiste-réanimateur spécialisé en soins intensifs. Cet article publié sur le site du Centre de recherche sur la mondialisation fustige l’inutilité du port d’un masque qui “aggrave la contamination” et dénonce une épidémie qui tourne à “l’hystérie”.
Extraits d’une chronique du Docteur Eric Menat parue dans France-Soir du 4 août qui dénonce une augmentation “artificielle” du nombre de cas positifs et une volonté de “restrictions des libertés”. Extraits ci-dessous ou lire l’intégralité de l’article en cliquant ici.
“Depuis quelques semaines on nous explique, tests à l’appui, que l’épidémie est en train de repartir, que le nombre de cas ne cesse d’augmenter et qu’il va falloir nous appliquer des restrictions de plus en plus draconiennes.” […]
“Alors les masques qui étaient inutiles d’après tous nos experts (et nos ministres) au mois de mars, en plein cœur de l’épidémie, quand nous avions plus de 500 morts par jour, sont devenus subitement obligatoires aujourd’hui où nous avons moins de 10 morts par jour.” […]
“Ils sont obligatoires dans les endroits clos et le deviennent progressivement dans la rue. On envisage même de refermer les bars et le pire reste à venir en termes de limitation de nos libertés.” […]
“Mais sur quelle base scientifique ? On nous explique que c’est en se référant aux chiffres de nombre de cas positifs qui ne cessent d’augmenter. Ça parait logique, mais est-ce un bon argument ?” […]
“Plus on teste et plus on trouve de personnes positives ! En moyenne, en France, 2,5% des personnes testées sont positives.
- Si vous testez 10000 personnes, vous avez 250 tests positifs
- Si vous testez 40000 personnes, vous avez 1000 tests positifs.
Ces personnes positives existaient la veille ou la semaine dernière, mais c’est juste qu’on ne les avait pas testées.” […]
“Voici la courbe des personnes dépistées positives, chaque jour, entre le 13 mai et le 28 juillet :”
“Et on peut mettre ces courbes en parallèle avec les hospitalisations qui ne cessent de baisser pour prouver un peu plus qu’il n’y a aucune augmentation de l’épidémie. Voici les chiffres donnés par Santé Publique France de l’évolution des hospitalisations quotidiennes au 31 juillet :”
“Nous ne sommes pas face à une épidémie de cas positifs, mais à une épidémie de tests ! Et comme les tests sont maintenant gratuits et réalisables sans ordonnance, cette épidémie n’est pas près de s’arrêter.” […]
“Et si c’était la raison de ce décret sur les tests réalisables par tous : faire augmenter artificiellement le nombre de cas positifs pour pouvoir inquiéter la population et mieux nous contraindre par la peur. Car si vous pensez ces chiffres montrent une aggravation de l’épidémie, il est certain que vous accepterez plus facilement toutes les restrictions à nos libertés.” […]
“Et vous attendrez tous avec angoisse l’arrivée du vaccin qui sera considéré comme le sauveur de l’humanité. Le Messie que tous espèrent !” […]
“Donc, que des personnes soient positives au Coronavirus n’est pas surprenant. La vraie question est : ces personnes sont-elles malades ? Et la réponse est non dans 99% des cas. Et surtout il n’y a plus de cas graves à part quelques cas particuliers avec de nombreuses comorbidités (ils ont plusieurs maladies qui les fragilisent).” […]
“D’ailleurs, si le virus était vraiment aussi virulent qu’en février-mars, l’épidémie serait déjà repartie. Vous avez probablement vu les images de la fête de la musique ? Ou celle du métro parisien. La promiscuité est majeure. Croyez-moi, si le virus était aussi virulent qu’au départ, on aurait eu une recrudescence des cas et le nombre de cas ne serait pas proportionnel au nombre de tests. Petit à petit on aurait 3 puis 5 puis 10% des tests positifs ! Or ce n’est pas le cas.” […]
“Et surtout, paniquer la population pour des chiffres qui prouvent en fait qu’il n’y a aucune progression de l’épidémie et que nous voyons de moins en moins de malades est-il vraiment une bonne chose ?” […]
“Condamner des pans entiers de notre économie, mais surtout créer des sentiments d’anxiété avec toutes les pathologies qui en découleront est-il vraiment une bonne idée sur le plan sanitaire et social ?” […]
“Pour le moment, tout est fait pour créer un sentiment d’insécurité et restreindre nos libertés.”
Source :
– France-Soir : Des tests pour nous éclairer … ou nous aveugler
Dans un long article consacré à l’épidémie et à sa gestion, la Docteur Nicole Delépine s’interroge sur les différents aspects de la crise, de la surcharge des hôpitaux aux conséquences du confinement en passant par l’évolution de l’épidémie en France. Toutes les sources sont citées dans l’article original. Extraits :
“En mars 2020, nous sommes entrés dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de nos autorités qui font actuellement tout pour prolonger la panique sans justifications médicales réelles.”
– Sur la surchage des hôpitaux :
“En réalité de nombreux hôpitaux sont restés à moitié vides pendant tout le mois d’avril et les cliniques privées vidées de tout malade ont dû recourir au chômage partiel de leur personnel. Ainsi, le syndicat de l’hospitalisation privée annonçait que de très nombreuses demandes de chômage partiel avaient été déposées dans ses établissements et demandait que les ARS (agences régionales de santé) leur adressent les malades qui n’auraient pas pu être soignés dans les établissements publics. Mais à l’exception de quelques cliniques parisiennes et durant une quinzaine de jours, les lits privés sont restés vides faute de malades.”
“Pendant cette période, pour montrer qu’il était efficace, le pouvoir a organisé des grands spectacles TGV covid, Evasan Covid et hôpital militaire de campagne Covid alors qu’il suffisait parfois de pousser une porte pour trouver les lits, des respirateurs et des soignants en nombre suffisant.” […]
– Sur le nombre de décès et les tests :
“Si nous avions décidé, comme nos voisins allemands, de mettre en quarantaine, (d’isoler pendant 15 jours) les porteurs de virus de la population saine nous compterions 25000 morts de Covid19 de moins. L’absence de test n’est pas une excuse : c’est parce que le ministère n’en a pas voulu que nous n’en avons pas eu ; au début de cette épidémie les allemands ne disposaient pas de plus de tests que nous pour cette maladie nouvelle, mais leur chancelière a permis à tous les laboratoires y compris vétérinaires d’en pratiquer alors qu’en France le ministère et les Agences Régionales de Santé ont dédaigné les offres qu’on leur a faites.” […]
– Sur les conséquences du confinement :
“Le « plan blanc » activé dès l’état d’urgence et le confinement aveugle adoptés a entraîné l’arrêt des traitements des maladies chroniques (hypertension, diabète, cancers), source de pertes importantes de chances de survie. Il a également bloqué le diagnostic et le traitement de nouvelles pathologies infectieuses, cancéreuses etc. qui sont apparues pendant le confinement et sont restées évolutives en l’absence de diagnostic et de traitement. Or même des retards modestes dans la chirurgie du cancer ont un impact significatif sur la survie. Aux victimes directes du Covid19 et du confinement, le plan blanc a donc ajouté des victimes collatérales par arrêt ou retard des soins des maladies chroniques et les retards de diagnostic des maladies jusque-là ignorées.”[…]
“Alors qu’il n’y a aucune preuve que le raz-de-marée annoncé sur les hôpitaux ait été empêché par le confinement, les mesures ordonnées par le gouvernement ont mis des pans entiers de la société dans la détresse : jeunesse privée de son droit à l’éducation, désintérêt progressif du travail chez de nombreux salariés qui ont beaucoup de mal à reprendre leurs activités, finances publiques lourdement grevées, maisons de retraite transformées en prisons tandis que les liens dans la population ont été distendus, minés par la défiance et la peur de l’autre. Récession économique, aggravation du chômage et de la misère se font déjà sentir. Les mesures prises au nom de la protection de la population n’étaient manifestement ni efficaces, ni proportionnées, ni adéquates.[…]
– Sur l’évolution de l’épidémie en France :
“Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui présentent des signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations et qui sont menacées de mort. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé Publique France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, indicateurs clés d’une épidémie évolutive :”
– Sur les “raisons de la désinformation” :
“Pourquoi les données rassurantes dont on dispose aujourd’hui ne font-elles pas les gros titres ? A quoi rime cette volonté d’imposer le masque alors que la maladie a quitté le pays, de faire croire aux petits enfants qu’ils ne doivent pas embrasser leurs grands-parents pour les protéger, de rappeler constamment au public que les restrictions pourraient être réimposées très bientôt sinon à entretenir la panique et s’assurer de la soumission de la population ?” […]
Le Dr. Yonathan Freund est médecin urgentiste à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, et professeur à l’université de la Sorbonne. Il s’est exprimé le 17 juillet sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Coronavirus et sur l’obligation de porter un masque dans les “lieux clos recevant du public”.
Voici l’intégralité de son “Tweet” :
“C’est difficile effectivement de rester silencieux. Quand je vois le délire alarmiste qui envahit les médias et les RS [réseaux sociaux], et qui fait fi de toute mesure. Des journalistes qui infantilisent, ceux qui veulent “punir” les français mal disciplinés… Alors on va debunker un peu.
1) Allez, je fais du #moije comme on me le reproche. Ma position n’est pas imprudente. Je livre une analyse que j’espère circonstanciée et critique des données. Je rappelle que si mon hypothèse est contredite par les chiffres, alors on pourra agir et ce ne sera pas trop tard.
2) Le délire de certains spécialistes en rien sauf en plateau télé et en consultation privée, n’ayant jamais vu un patient COVID, qui nous “apprennent” que l’épidémie reprend : rien ne justifie ces discours. A part la peur.
3) Voilà 2 mois qu’il existe des arguments pour douter d’une seconde vague meurtrière et une reprise de l’épidémie. Les épidémiologistes chefs d’entreprise vendeurs de modèles nous prédisaient 80 000 morts à la levée du confinement même avec gestes barrières. RAS.
Il n’y a eu aucune reprise nulle part. Les évènements et comportements qu’on adorait critiquer (fête de la musique, manifestations etc.) n’ont causé aucune reprise.
Il y a une circulation du virus. Il y a des nouveaux cas. MAIS,
4) et c’est le point central, toujours le même, à ce jour, il y a chaque jour, chaque semaine, de moins en moins de nouveaux cas hospitalisés ou en réanimation. Et ce partout (hors Guyanne). Alors bien sur, on arrive à un niveau si bas que nous allons forcément voir des hausses. Quand on est tout en bas, ça ne peut qu’augmenter. Le virus n’est pas mort je le rappelle. Mais est-ce nécessaire de dire qu’on a un signal de reprise quand on passe de 1 par semaine a 3 par semaine? On va arriver à un bruit de fond. En tout cas ds les régions déjà très touchées.
Le R est à 2 et quelques en Bretagne! Alerte alerte! Mais non. Il y a juste eu des clusters et des dépistages systématiques. Donc des cas. R (on l’a déjà dit) n’a aucun sens quand l’épidémie est au point mort, outre des clusters. Aucun sens. Sur toute la Bretagne, on est passé de 6 hospitalisations la semaine dernière à 8. Est ce une explosion? Soyons sérieux. Bien sur qu’il y aura toutes les semaines des régions qui verront une augmentation des cas. On part de tellement bas… En Mayenne alerte rouge? Quasi zéro hospitalisations. ZERO.
5) la décision d’imposer le port du masque est très difficile à comprendre. Pourquoi avoir pris cette décision au moment où tous les indicateurs sont au vert?
Quel est le plan ? pour combien de temps ?
Faut-il vraiment changer la société pour une durée indéterminée sans savoir si c’est nécessaire, et surtout sans savoir ce qui fera revenir en arrière ?
Nous sommes nombreux à être d’accord : dans les régions fortement touchées, l’immunité est importante. Probablement suffisante – l’immunité n’est pas uniquement visible sur la sérologie. Il n’y a aucune reprise nulle part dans le monde là où l’épidémie a frappé violemment. Aucune.
Pourquoi cette décision du port du masque obligatoire ? Pour protéger les personnes vulnérables ? Mais les personnes vulnérables se protègent. Elles peuvent respecter strictement les mesures de distanciations et autres.
6) En revanche, il faut se poser la question : veut-on totalement arrêter la circulation du virus? Je pense que c’est illusoire. Ou alors j’espère que vous avez du temps devant vous. La solution de le laisser circuler tout en le contrôlant est probablement la bonne.
Certains disent “pour protéger les personnes vulnérables, protégez vous”. C’est peut être faux. Pour protéger les personnes vulnérables, protégez LES, mais si vous êtes malades puis immunisés, vous les protégerez à vie. ATTENTION je ne dis pas que il faut disséminer le virus partout. Mais vouloir à tout prix arrêter sa diffusion, partout, est illusoire et pas forcément un bon calcul à long terme.
Quel est le plan ?
Il n’y a pas d’autre plan cohérent que de poursuivre les mesures de distanciations sans les renforcer, en pouvant assouplir selon l’évolution, et surveiller les vrais indicateurs! (pas les appels à SOS médecin qui augmentent au début des vacances et face à l’alarmisme ambiant)
Il y a une part d’incertitude dans cette maladie. Tout le monde est d’accord là dessus. Mais pourquoi la prendre systématiquement sur le pire scénario possible ? Pourquoi une telle symbiose des médias, “experts”, etc ? Alors que c’est incertain ? Ce n’est pas logique.”
Source : Compte Twitter de Yonathan Freund
L’anthropologue Jean-Dominique Michel a relayé sur son site une lettre ouverte du Dr Christian Zürcher, médecin et président de l’Association Santé Suisse, qui dénonce notamment des “statistiques falsifiées”, un port du masque “manifestement malsain” et une deuxième vague “mise en scène par les médias et les autorités.” Extraits.
– Au sujet du coronavirus :
“Le coronavirus 2020 n’est pas un nouveau phénomène, même si certaines séquences de l’ARN (à mutation rapide) sont nouvelles. Chaque hiver, des coronavirus provoquant des maladies infectieuses respiratoires affectent environ 15% de la population et provoquent des rhumes et des grippes sans qu’il y ait de différence médicale significative entre les années.” […]
– Sur les masques :
“Le port du masque hors de l’environnement chirurgical est manifestement malsain tant au niveau corporel que psychique (arythmie, problèmes de concentration et autres effets sur le cerveau, bactéries, virus et attaques fongique en augmentation). Il s’agit d’un matériel présentant un danger réel, avec des effets psychologiques et sociaux dommageables, dont le soi-disant effet protecteur est très éloigné des promesses officielles.” […]
– Concernant le décompte des morts :
“Comment est-il possible qu’il n’y ait pas d’autopsies en 2020 ni en Suisse, ni en Europe ? Cela crée des statistiques falsifiées sur les causes des décès, qui ne sont plus ni crédibles ni sérieuses. Même des victimes de la route, pour autant qu’elles soient reconnues positives, viennent à être comptées comme des décès suite à la Covid !” […]
– À propos d’une deuxième vague :
“La 2ème vague : mise en scène par les médias et les autorités ? En tant que phénomène, la deuxième vague n’existe pas. Ce fait est connu par tous les médecins et scientifiques qui se basent sur les faits. La meilleure des solutions serait que nous nous préparions à affronter une vague continue – tel que cela a toujours été le cas durant les dernières années […] sans bouleversement particulier.” […]
– Sur le traitement de l’épidémie par les médias :
“On a observé une abondance de reportages provoquant panique et excès d’angoisse – sans possibilité de se soustraire ou de prendre du recul face à cette influence et ceci sur plusieurs mois. Ce qui constitue une nouveauté dans notre paysage sociétal.” […]
“Inconduite des journalistes : loyauté avérée envers les donateurs par la désinformation (contre-vérités), le non-respect de la proportionnalité, la déformation des mots et la stigmatisation (par exemple, diffamation des opposants) lorsqu’ils s’écartent de l’opinion officielle.” […]
– Sur les conséquences du confinement :
“Bien des médecins se sont retrouvés avec les mains liées pendant le confinement. Un grand nombre d’interventions urgentes et de traitements nécessaires n’ont plus pu être assurés, au péril et au dommage des personnes malades. Les souffrances psychiques sont immenses, en particulier celles qui ont été imposés aux personnes âgées. Jamais encore n’avons-nous, médecins et thérapeutes, noté une telle augmentation du nombre de patients désespérés et effrayés, ou souffrant d’affections psychiques, en l’espace de trois mois.” […]
Source :
– Site de J-D. Michel : Covid : Lettre ouverte du Dr Christian Zürcher aux parlementaires fédéraux
– Téléchargez la lettre ouverte dans son intégralité
Le pédopsychiatre Thierry Gourvénec se penche dans une tribune relayée par l’anthropologue J-D. Michel sur l’hypothèse d’un “délire collectif” dans les réactions gouvernementales ou populaires à la crise du Coronavirus. Texte intégral.
Vous pouvez également visionner l’interview vidéo du Dr. Gourvénec en fin de page.
“Quand, à l’échelle de la planète, on observe les décisions politiques prises en phase aiguë de pandémie de covid-19 et celles imposées dans ses suites actuelles, et qu’on les met en perspective, aussitôt une chose saute aux yeux : leur incohérence.”
“D’une ampleur telle que même favorable aux gouvernements au pouvoir il devient difficile, soumis à l’épreuve du constat de tant d’incohérences, de ne pas être envahi par la perplexité.”
En France au printemps, en phase d’expansion de la pandémie, les tests et les masques étaient jugés inutiles, voire, pour ces derniers, nuisibles, quand ils ne nécessitaient pas des compétences si particulières pour les ajuster… qu’elles dépassaient celles d’une ministre. Par contre en été alors que la pandémie est terminée, le masque, aux mailles tissulaires de taille bien supérieure à celle du virus, n’est plus inefficace et inutile, mais devient au contraire et paradoxalement indispensable et obligatoire, y compris parfois en extérieur, et des amendes élevées sont même prévues pour les récalcitrants ou les allergiques.
Les tests sont pratiqués en nombre croissant alors qu’ils sont désormais parfaitement inutiles (d’autant que le test PCR ne distingue pas les virus morts des virus vivants), et les résultats positifs qui ne sont même pas des malades sont égrainés comme l’étaient les morts pendant la phase aiguë, réactivant la peur déstructurante. Tout cela est absurde. Incohérent. Des décisions tellement absurdes et incohérentes qu’issues de ministres, forcément non-dénués d’intelligence, elles forcent aux questionnements les plus divers. Pour certains observateurs de plus en plus nombreux une réponse s’impose : il y a forcément anguille sous roche, autrement dit un complot inavouable contre les peuples, provenant de l’industrie pharmaceutique ou d’autres horizons. Tandis que pour d’autres, n’excluant pas forcément certains aspects de la précédente hypothèse, cette affaire traduit en priorité un phénomène rare mais néanmoins bien réel : un délire collectif. Au sens véritablement pathologique du terme.
C’est cette hypothèse que je vous propose d’explorer.
Pour qu’un délire collectif se déclenche il faut des conditions particulières. Tout d’abord l’existence d’une angoisse persistante ou d’une peur intense confinant à la panique est indispensable. Ce fut le cas ici au su de ce qui se passait à Wuhan : laboratoire P4, confinement généralisé immédiat, construction de deux hôpitaux dont le premier de 1000 lits en 10 jours, au nom halluciné : « L’hôpital de la montagne du dieu du feu ».
Mais cette angoisse doit détenir des caractéristiques particulières pour acquérir la capacité de faire délirer un nombre important de membres d’une collectivité. Être associée à un très intense sentiment partagé de culpabilité par exemple (tel qu’on a pu l’observer dans la rumeur délirante, dite d’Orléans, de 1969), ou encore renvoyer à des peurs archaïques (du genre de celle ayant tétanisé une population entière. A l’occasion d’une épidémie particulièrement meurtrière par exemple: la peste noire décima de 1346 à 1353 quasiment la moitié de la population de l’Europe), ou à des paniques très récentes concernant précisément des épidémies à coronavirus. Mais aussi des épidémies de grippe, aviaire ou non, ou d’Escherichia Coli Entéro-Hémorragique comme en 2011. Il est plus que probable que la mémoire consciente et inconsciente de ces diverses épidémies a joué un rôle dans l’appréhension et la gestion de la covid-19, en particulier chez les épidémiologistes et les infectiologues.
Une fois que le germe du délire a imperceptiblement envahi une part significative d’un groupe – dans le cas présent des dirigeants politiques et des responsables de média, puis les journalistes – il va acquérir rapidement la capacité de contaminer une proportion toujours plus grande de personnes. Le délire fait tâche d’huile. Rapidement on va voir apparaitre dans le groupe concerné des symptômes de délire : des troubles de la logique la plus élémentaire à l’origine d’incohérences et d’absurdités, des perturbations de capacités cognitives, une imprévisibilité des comportements et des décisions, la présence de nombreux paradoxes, de l’irrationalité, une atteinte au bon sens tandis que l’intelligence recule, la peur affectant la qualité des capacités de réflexion et de raisonnement dans le groupe, dont la taille s’accroit si la thématique du délire ne concerne pas que le groupe d’origine mais une population plus large. Ce qui est le cas dans une épidémie infectieuse.
Les modalités du délire sont telles qu’individuellement les gens happés par celui-ci ne présentent pas de troubles psychologiques particuliers dans leurs relations sociales tant que ne sont pas évoqués de manière précise le ou les thèmes délirants. Mais ceux-ci sont tellement prégnants dans le nouveau quotidien qu’ils en deviennent obsédants. Aussi dès qu’ils sont abordés, des perturbations du langage, du raisonnement et du comportement peuvent apparaitre. En fait la pensée de groupe n’étant plus rationnelle, la communication collective devient délirante, et les individus non maîtres de celle-ci, vouée à une logique propre teintée par l’inconscient collectif, désormais prisonniers du délire, n’ont plus d’autre alternative que de s’en faire l’écho par adhésion inébranlable, et de la propager.
Une fois le délire installé, sa critique par les personnes happées par celui-ci s’avère impossible. Les appels à la Raison de tiers extérieurs au groupe délirant sont inopérants. Et cela d’autant plus que les interlocuteurs délirants ont un bagage intellectuel conséquent. Non seulement parce qu’il est toujours malaisé de reconnaitre des erreurs de jugement, mais aussi, et surtout, parce qu’à ces personnes ayant une haute opinion d’elles-mêmes, il leur est absolument impossible d’admettre l’existence d’un processus pathologique qu’ils subiraient, et pour la bonne raison que leur niveau d’intelligence est jugé par eux incompatible avec des absurdités qu’ils ne reconnaissent de toute façon pas. Seule la part de la population moins investie dans la compétition intellectuelle ou à l’esprit critique affûté, se trouve avoir un accès plus aisé au bon sens tellement heurté par les incohérences et autres absurdités. Celle-ci se trouvera donc plus facilement réceptive aux appels à la raison. Tandis que l’élite ne sera sensible qu’aux rapports de force politiques ou scientifiques.
Dans le délire collectif en cours aujourd’hui la thématique délirante repose sur l’extrême dangerosité du virus. Dès le départ, en raison de la gestion chinoise très particulière et très anxiogène du début d’épidémie, cette dangerosité a semblé majeure, et cette conviction malgré de nombreux démentis est devenue inébranlable, contaminant des cercles toujours plus grands de population. Le fait qu’il s’agisse d’un coronavirus comme lors des épidémies de SRAS en 2003 et de MERS en 2012, de sinistre mémoire bien qu’elles se soient révélées de mortalité infime, a forcément joué un rôle considérable.
Le coronavirus, comme l’adénovirus et le rhinovirus, est un virus de rhume. Mais le SARS-Cov2 semble faire naitre un paradoxe «entre sa très grande innocuité pour l’immense majorité des gens et sa dangerosité extrême dans certains cas ». En fait il est dangereux essentiellement pour les personnes âgées en fin de vie. Et donc en réalité il est un paradoxe seulement en apparence, rendant néanmoins l’épidémie difficile à penser. Un paradoxe relatif si l’on songe que ce processus pathogène est celui de toutes les infections respiratoires, le nez n’étant pas un organe vital, tandis que le poumon l’est. Et dont l’atteinte infectieuse quelle qu’elle soit est potentiellement mortelle. Et avec une symptomatologie parfois bien plus impressionnante que dans la covid-19 comme lors de l’épidémie de grippe de Hong-Kong de 1968-69 au cours de laquelle les infectés développant en grand nombre une pneumopathie, présentait une hémorragie pulmonaire noyant les malades dans leur sang. Et pourtant cette grave épidémie à la complication effrayante n’a pas généré de panique. Et, en son absence, encore moins de délire collectif.
Au lieu du million de morts mondial dans son cas, 31 000 en France, quel en aurait été son dramatique bilan si à l’époque on avait confiné les porteurs sains ?
Source : Le délire collectif de la covid-19
https://www.europe-israel.org/2020/08/de-nombreux-medecins-denoncent-lepidemie-est-terminee-en-france-mais-la-propagande-de-la-peur-sintensifie-delire-alarmiste/
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Nous sommes entrés dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de nos autorités qui font actuellement tout pour prolonger la panique sans justifications médicales réelles.
Au lieu de mettre en avant ces bonnes nouvelles le gouvernement poursuit sa propagande terrorisante, sous prétexte que le nombre de cas testés positifs augmente, alors que cela traduit principalement la forte augmentation du nombre de tests effectués.
Lorsqu’on examine les graphiques qui présentent le nombre de tests revenus positifs rapporté au nombre de tests revenus négatifs, il faut presque une loupe pour apercevoir la part des positifs – laquelle est par ailleurs stable, oscillant depuis la mi-mai autour 1%.
Ces cas positifs ont de plus de chances d’être en réalité des faux-positifs. Les tests PCR actuellement utilisés présentent en effet une marge d’erreur de 1,8%. Cela signifie que sur 10 000 tests, il y aura 180 faux positifs. Or depuis le 11 mai, le pourcentage des tests positifs est restée stable à 1%. Avec des chiffres aussi réduits, la possibilité qu’il s’agisse souvent de faux positifs ne peut donc être exclue. Dans une analyse parue mi-juin, Beda Stadler, professeur émérite et ancien directeur de l’Institut de virologie et d’immunologie de l’Université de Berne, rappelait aussi qu’une grande partie ces « cas d’infection » pouvaient en réalité être des personnes déjà immunisées contre le virus, encore porteuses de « débris viraux » dans leur organisme.
La poursuite de la propagande de la peur est efficace ainsi qu’en témoigne le nombre de consultations pour angoisse de covid19 qu’utilise ensuite Santé Publique France pour faire croire à une seconde vague : « signe d'une possible reprise de la maladie, du 29 juin au 5 juillet, 1 523 actes médicaux pour suspicion de Covid-19 ont été enregistrés par les associations SOS Médecins, cela représente une hausse de 41 % par rapport à la semaine précédente ».
Ainsi malgré des indices objectifs tous rassurants, des adultes de toutes les classes d’âge, et même des enfants, craignent d’être contaminés, de tomber malades et de mourir du COVID-19. Cette peur infondée soulève la question de la responsabilité de ceux qui l’ont répandue et qui continuent de l’entretenir. Les consultations en psychiatrie ne cessent de se multiplier de même que le besoin d’hospitalisations que les services ne peuvent fournir.
QUELLES PEUVENT ÊTRE LES RAISONS D’UNE TELLE DÉSINFORMATION ?
Pourquoi les données rassurantes dont on dispose aujourd’hui ne font-elles pas les gros titres ? A quoi rime cette volonté d’imposer le masque alors que la maladie a quitté le pays, de faire croire aux petits enfants qu’ils ne doivent pas embrasser leurs grands-parents pour les protéger, de rappeler constamment au public que les restrictions pourraient être réimposées très bientôt sinon à entretenir la panique et s’assurer de la soumission de la population ?
Nicole DELEPINE, Oncologue
Épidémie terminée versus panique organisée ? (extrait)
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UNE ÉPIDÉMIE DE NON MALADE ?..
https://www.facebook.com/watch/?v=1225294071165629&extid=ZKs0IxA4Pq4NlcqQ
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2000 MÉDECINS DÉNONCENT
LES MENSONGES SUR LA PANDÉMIE
Ce groupe de médecins allemands et internationaux, virologues, immunologistes, infectiologues, épidémiologistes... qui dénoncent les mesures sanitaires mondiales inadéquates et leurs conséquences, a créé une commission d'enquête extra-parlementaire. Ils invitent les médecins et experts du monde entier afin d'enquêter sur les abus et incohérences dans les mesures non démocratiques prises par les gouvernements dans le cadre de la "pandémie" Covid 19.
ACU Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss, Commission d'enquête extra-parlementaire sur le COVID 19.
https://acu2020.org/version-francaise/
Ce reportage, réalisé par Pierre Barnérias, grand reporter et journaliste d’investigation, promet d’éclairer la dérive en cours dans toute sa crudité. Poursuivons l’effort pour que chacun-e puisse juger sur pièces ce qui organise la mise à sac de nos sociétés et la suspension de nos droits et libertés. Une approche rigoureuse, documentée, implacable, à des années-lumière de toute théorie fumeuse. Une œuvre de salubrité publique pour ne pas dire dans quelques années : « nous ne savions pas »... Jean-Dominique Michel, anthropologue