EPIDÉMIE TERMINÉE, INTENSIFICATION DE LA PROPAGANDE DE LA PEUR !

Publié le par Résistance verte

 

Nous sommes entrés dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de nos autorités qui font actuellement tout pour  prolonger la panique sans justifications médicales réelles.

Au lieu de mettre en avant ces bonnes nouvelles le gouvernement poursuit sa propagande terrorisante, sous prétexte que le nombre de cas testés positifs augmente, alors que cela traduit principalement la forte augmentation du nombre de tests effectués.

Lorsqu’on examine les graphiques qui présentent le nombre de tests revenus positifs rapporté au nombre de tests revenus négatifs, il faut presque une loupe pour apercevoir la part des positifs – laquelle est par ailleurs stable, oscillant depuis la mi-mai autour 1%.

Ces cas positifs ont de plus de chances d’être en réalité des faux-positifs. Les tests PCR actuellement utilisés présentent en effet une marge d’erreur de 1,8%. Cela signifie que sur 10 000 tests, il y aura 180 faux positifs. Or depuis le 11 mai, le pourcentage des tests positifs est restée stable à 1%. Avec des chiffres aussi réduits, la possibilité qu’il s’agisse souvent de faux positifs ne peut donc être exclue. Dans une analyse parue mi-juin, Beda Stadler, professeur émérite et ancien directeur de l’Institut de virologie et d’immunologie de l’Université de Berne, rappelait aussi qu’une grande partie ces « cas d’infection » pouvaient en réalité être des personnes déjà immunisées contre le virus, encore porteuses de « débris viraux » dans leur organisme.

La poursuite de la propagande de la peur est efficace ainsi qu’en témoigne le nombre de consultations pour angoisse de covid19 qu’utilise ensuite Santé Publique France pour faire croire à une seconde vague : « signe d'une possible reprise de la maladie, du 29 juin au 5 juillet, 1 523 actes médicaux pour suspicion de Covid-19 ont été enregistrés par les associations SOS Médecins, cela représente une hausse de 41 % par rapport à la semaine précédente ».

Ainsi malgré des indices objectifs tous rassurants, des adultes de toutes les classes d’âge, et même des enfants, craignent d’être contaminés, de tomber malades et de mourir du COVID-19. Cette peur infondée soulève la question de la responsabilité de ceux qui l’ont répandue et qui continuent de l’entretenir.  Les consultations en psychiatrie ne cessent de se multiplier de même que le besoin d’hospitalisations que les services ne peuvent fournir.
 
QUELLES PEUVENT ÊTRE LES RAISONS D’UNE TELLE DÉSINFORMATION ?

Pourquoi les données rassurantes dont on dispose aujourd’hui ne font-elles pas les gros titres ? A quoi rime cette volonté d’imposer le masque alors que la maladie a quitté le pays, de faire croire aux petits enfants qu’ils ne doivent pas embrasser leurs grands-parents pour les protéger, de rappeler constamment au public que les restrictions pourraient être réimposées très bientôt sinon à entretenir la panique et s’assurer de la soumission de la population ?

Nicole DELEPINE, Oncologue
Épidémie terminée versus panique organisée ? (extrait)

https://blogs.mediapart.fr/brigitte-pascall/blog/020820/nicole-delepine-coronavirus-epidemie-terminee-versus-panique-organisee

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/crise-du-coronavirus-en-france-epidemie-terminee-versus-panique-organisee-pourquoi

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Publié dans Coronavirus

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