UNE INTERPRÉTATION ERRONÉE ?

Publié le par Résistance verte

 

Le coronavirus 2020 n’est pas un nouveau phénomène, même si certaines séquences de l’ARN (à mutation rapide) sont nouvelles. Chaque hiver, des coronavirus provoquant des maladies infectieuses respiratoires affectent environs 15% de la population, cela sans que cela n’entraîne habituellement de bouleversements majeurs.

Défense contre les infections accrue – nous connaissons parfaitement les moyens efficaces et déterminants à disposition pour nous protéger (en autres une durée de sommeil suffisante (8,5 heures), la réduction du stress, la prise de vitamine C et D3). Ces arguments n’ont, ni avant ni après l’apparition du coronavirus 2020, été mis en exergue ou appliqués.

Le port du masque hors de l’environnement chirurgical est manifestement malsain tant au niveau corporel que psychique (arythmie, problèmes de concentration et autres effets sur le cerveau, bactéries, virus et attaques fongique en augmentation). Il s’agit d’un matériel présentant un danger réel, avec des effets psychologiques et sociaux dommageables, dont le soi-disant effet protecteur est très éloigné des promesses officielles.

Comment est-il possible qu’il n’y ait pas d’autopsies en 2020 ni en Suisse, ni en Europe ? Cela crée des statistiques falsifiées sur les causes des décès, qui ne sont plus ni crédibles ni sérieuses. Même des victimes de la route, pour autant qu’elles soient reconnues positives, viennent à être comptées comme des décès suite à la Covid !

Il y a une somme de contradictions évidentes dans les mesures imposées comme : l’urgence du port du masque en termes de durée et la distance sociale en théorie et en pratique. On voit aussi l’utilisation erronée de certains termes techniques (par exemple le mot « pandémie »).

La vaccination -dont le principe est propagé dans les médias traditionnels- n’a pas encore été testée et sous la forme prévue restera durablement inscrite dans le génome de la personne vaccinée. Elle se retransmettra d’une génération à l’autre de façon permanente. Nous disposons de rapports sur des expériences faites avec cette nouvelle technologie qui datent du temps de la grippe porcine – enregistrant un nombre de décès nettement plus élevés.

Pouvons-nous accepter ce risque pour nos familles et pour la population ? Des possibilités moins couteuses et des alternatives réelles au vaccin telles que l’appliquent de nos jours déjà la Chine et la Russie (vaccin inactivé sans impact sur le génome) sont restées sans attention.

Le soi-disant « nombre de cas » constitue un exemple révélateur du manque de sérieux récemment apparu (p.ex. validation de tests, spécificité des tests et sensibilité, indications concernant la fréquence de tests réalisés, saisie et répartition entre malades et non-malades, répartition selon gravité des malades).

La 2ème vague : mise en scène par les médias et les autorités ? En tant que phénomène la deuxième vague n’existe pas. Ce fait est connu par tous les médecins et scientifiques qui se basent sur les faits.

Une vaccination ne protège pas complètement. Tous les essais à ce jour, même ceux de longue date pour trouver un vaccin contre les virus de refroidissements ont démontré une protection lacunaire.

Les virus ne peuvent être éliminés – même avec un grand effort. Nous devons plutôt nous demander : de quel effort avons-nous besoin pour rester dans une proportion coûts-bénéfices raisonnable ? 
 
On a observé une abondance de reportages provoquant panique et excès d’angoisse - sans possibilité de se soustraire ou de prendre du recul face à cette influence et ceci sur plusieurs mois. Ce qui constitue une nouveauté dans notre paysage sociétal. Nous avons vu une influence massive déployée avec l’appui des médias ainsi que des nouvelles technologies.

Combines journalistiques : fidélité aux bailleurs de fonds démontrée par la désinformation (ou même la dissimulation) au sujet d’affirmations fausses, manque de prise en considération de la proportionnalité, de la diversité d’opinions, déformation des propos ainsi que stigmatisation (par exemple calomnie) en cas d’opinions ou de publications contraires à l’opinion officielle.

Maintenant, 3 mois après introduction de l’arrêté du confinement, la plupart des gens se frottent les yeux. Les économistes sont tous d’accord qu’il va falloir entre 2 et 10 ans pour récupérer économiquement.

Bien des médecins se sont retrouvés avec les mains liées pendent le confinement. Un grand nombre d’interventions urgentes et de traitements nécessaires n’ont plus pu être assurés, au péril et au dommage des personnes malades. Les souffrances psychiques sont immenses, en particulier celles qui ont été imposés aux personnes âgées. Jamais encore n’avons-nous, médecins et thérapeutes, noté une telle augmentation du nombre de patients désespérés et effrayés, ou souffrant d’affections psychiques, ceci au sortir d’une période de 3 mois seulement.  
          
Plus jamais de confinement- la population ne veut plus jamais devoir passer ainsi 3 mois. Les dégâts collatéraux dépassent toutes les craintes.

Dr Christian Zürcher avec un groupe de médecins
Lettre ouverte adressée au Parlement Suisse, juillet 2020 (extraits)

https://www.merkur.de/welt/coronavirus-impfstoff-virologe-streeck-zweite-welle-warnung-deutschland-massentests-drosten-streit-zr-13834907.html

https://www.tagesanzeiger.ch/das-coronavirus-scheint-weniger-gefaehrlich-als-gemeinhin-vermutet-552799806256

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Publié dans Coronavirus

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