UNE NOUVELLE RELIGION VACCINALE EST NÉE EN OCCIDENT

Publié le par Résistance verte

 

L’idéologie de la vaccination intégrale des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres, ses dévots, ses soudards, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En s’attaquant désormais aux enfants et en créant entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et fracture encore un peu plus les sociétés.

La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.

LES RESSORTS ÉCULÉS DE LA PROPAGANDE DE MASSE

Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à- vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes],  nous trouvons la propagande  d’intégration, qui est la propagande  des nations évoluées, et caractéristique  de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume  son préfacier français.

Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives sensées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de  maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.
https://resoaplus.fr/sauver-le-dispositif-de-sante-francais-diminuons-lincidence-des-maladies-chroniques-dorigine-environnementale/

Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé  (Petit traité de propagande. À l'usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut- on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.
https://www.deboecksuperieur.com/ouvrage/9782807300354-petit-traite-de-propagande-l-usage-de-ceux-qui-la-subissent

En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’État qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Elle consiste à « proposer
à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout
en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître : « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que  le chef politique  doit alors  « s’imposer dans  un  rôle  de  sauveur  qui  sait  apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».

Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l'eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l'eau froide et portez progressivement l'eau à ébullition, la grenouille s'engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fût-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.

LA RÉALITÉ N’A PAS GRAND-CHOSE À VOIR AVEC CETTE PROPAGANDE

La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.
Le premier est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité  établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin - 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854

Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du  réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt  l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».
https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0962280206071639
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/091220/comment-comprendre-le-deni-des-traitements-precoces-de-la-covid
https://covid.irsan.eu/fr/documentation/index/voir/5

Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du  variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (que l’on sait par ailleurs déjà moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur l’opinion des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est  bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.
https://web.archive.org/web/20210827131604/https:/blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/200721/la-vaccination-l-epreuve-des-faits-1ere-partie-les-chiffres-de-l-epidemie
https://www.samrc.ac.za/news/tshwane-district-omicron-variant-patient-profile-early-features
https://www.thelancet.com/journals/lanepe/article/PIIS2666-7762(21)00258-1/fulltext?s=08&

Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est interdit de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance  qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent  notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par  le Japon.
https://academic.oup.com/ehjqcco/advance-article/doi/10.1093/ehjqcco/qcab090/6442104
https://academic.oup.com/cid/advance-article/doi/10.1093/cid/ciab707/6353927
https://www.ahajournals.org/doi/abs/10.1161/circ.144.suppl_1.10712
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1
https://www3.nhk.or.jp/nhkworld/en/news/20211204_12/

Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise de par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole dans les médias. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés et les lépreux. Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s'ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà annoncée par M. Delfraissy), sa cinquième, etcetera. La logique du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », fracture les sociétés et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’Homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.

https://qg.media/2021/12/12/tribune-une-nouvelle-religion-vaccinale-est-nee-en-occident/

 

 

 

 

PLUS DE 2000 SOIGNANTS, MÉDECINS, SCIENTIFIQUES...
premiers signataires

Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS (site)

Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN

Paul Touboul, professeur de médecine (cardiologie, rythmologie) à l’université de Lyon

Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097

Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay

Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux

Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « traitants » « AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS

Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM

Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC

Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS

Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM

Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS

Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille

Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII

Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1

Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane

Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS

Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université

Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS

Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS

Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS

Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux

Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes (Italie)

David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre

Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay

Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille

Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8

Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS

Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS

Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS

Christian Toinard, professeur des Universités

Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg

Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université

Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay

Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz

Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université

Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS

Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie

Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes

Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS

Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine

Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APS
Maryse Esterle, sociologue, Université d’Artois

Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM

Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers

Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université

Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux

Stéphane Vautier, professeur des Universités (psychométrie et méthodologie)

Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université

Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris

Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté

Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat

Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie

Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne

Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris

Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1

Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université

Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris

Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE

Claire Berton-Carabin, directrice de recherche

Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS

François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS

Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès

Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage (retraité) Université de Franche-Comté

Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France

Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble

Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE

Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité), ancien professeur de l’Ecole Polytechnique

Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise

Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois 

Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS

Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie

Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon

Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers

Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne

Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne

Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne (Suisse)

Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités

Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier

Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes

Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux

Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux

Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt (Allemagne)

Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3

Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre

Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes

Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université

Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry

Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID

Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE

Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education

Pierre Chaillot, statisticien

Pierre Roche, docteur en sociologie HDR

Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux

Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine

Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS

Hélène San Clemente, ingénieur CNRS

Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS

Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale

Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS

Laurent Le Guillou, maître de conférences (Physique) à la Sorbonne Université

Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève

Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique

Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13

Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités

Fabrice Megrot, médecin (PhD / HDR), chercheur associé au CNRS

Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion

Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center (New York, USA)

Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS

Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon

Idriss Aberkane, Ph.D

Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne

Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour

Nicolas Guérin, Maître de conférences (HDR) en Psychologie à Aix-Marseille Université

Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes

André Bernold, retraité de la Michigan State University

Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École

Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord

André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne

Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)

Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France

Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris

Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau

Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM (méthodologiste et biostatisticienne)

Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine

Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3

Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London (Royaume-Uni)

Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège (Belgique)

Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers

Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes

Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris

Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux

Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon

Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS

Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia

Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel (Suisse)

Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon

François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université

Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux

Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE

Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE

Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie

Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université

Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée

Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur

Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3

Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable

Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale

Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris

Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’État es sciences biologiques, retraité du CNRS

Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg

Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS

Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université

Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS

Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS

Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique

Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc

Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS

Loïc Renoud, Ph.D, maître de conférences à Okayama University (Japon)

Sylvain Fève, ingénieur au CNRS

Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie

Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités

Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur

Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)

Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM

Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse

Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a (New York, USA)

Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux

Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM

Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM

Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS

André PICOT (président de l’ATC), Directeur de recherche honoraire du CNRS

Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima

Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté

Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE

Michèle Leclerc-Olive, Chercheure (HDR) au CNRS honoraire

Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier 

Maïté Lascaud, professeure agrégée, chercheure associée LVis Lyon

Massimo Nespolo, enseignant-chercheur à l’Université de Lorraine, Nancy

Sophie Le Gal, Maître de conférences à l’Université de Nantes

Rosolino Lionti, ingénieur de recherche

Michèle Ramond, Professeur honoraire de l’Université Paris 8

Alain Chatelet, enseignant-chercheur à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Toulouse

Clara Romero, Maitre de conférences en Sciences du langage à l’Université de Paris

Sabine Fenner-Wegener, enseignante aux universités de Darmstadt et Marbourg (Allemagne)

Ariel Prunell, ex Directeur de Recherche CNRS, spécialité Biologie moléculaire

Shirin Jindani, PhD., enseignant à l’Université Rennes 2

Muriel Cassel-Piccot, maître de conférences à l’Université Lyon 3

Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie à l’Université de Bordeaux

Jean-Christophe Cousin, maître de conférences, Telecom Paris, Institut Polytechnique de Paris

Régis Chambert, enseignant-chercheur retraité de l’Institut Jacques Monod de l’Université Paris 7

Henri Persat, Dr ès Science, PhD en Biologie, médaillé du CNRS

Duval Marie-France, Professeur retraitée, Aix-Marseille Université

Sacha Singh, enseignant à l’Université de Lille

Xavier Moniot-Lundy, juriste et enseignant (droit, économie) à l’Université

Etienne Fieux, Maître de conférences, Institut de Mathématiques de Toulouse, Université Paul Sabatier

Isabelle Aubert, Maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux

Michel Massol, Chimiste-Médecin, Professeur Honoraire à l’Université Toulouse III

Isabelle Salle, enseignante-chercheuse à l’Ecole d’Economie d’Amsterdam (Pays-Bas)

Anne Isla, Economiste, Université de Toulouse

Hélène Conjeaud, Retraitée, Chercheure au CNRS (Biophysique)

Eric Desmons, agrégé de droit public, professeur des universités

Alain Pénoël, professeur agrégé de mathématiques, docteur de l’Université Paris VI

Patrick Labarthe, Professeur émérite à l’Université de Zurich (Suisse)

Anselm Gerhard, professeur à l’Université de Berne (Suisse)

Joseph Romano, sociologue, maître de conférences HDR, retraité de l’Université de Lorraine

André Fougerousse, professeur de Chimie émérite à l’Université de Strasbourg

Alain Bernard, agrégé de droit privé, professeur émérite des universités

Roland Hinnion, professeur de mathématiques (retraité) à l’Université Libre de Bruxelles (Belgique)

Pierre Couturier, Maître de conférences à l’Université de Clermont-Auvergne

Denis Roux, docteur d’État, retraité de l’université

Marc Cizeron, maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne

Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public de l’Université de Limoges

Agnès Rouby, enseignante-chercheuse dans l’enseignement supérieur

Giordano Mastrocola, chercheur à l’Université Toulouse – Jean Jaurès

Dominique Harmand, professeur émérite de l’Université de Lorraine

Géraldine Victoir, maître de conférences, université Paul Valéry Montpellier 3

Shanti Rouvier, docteur en Psychologie Clinique et Psychopathologie, chargée de cours à Aix Marseille Université 

Thierry Ternisien d’Ouville, chercheur retraité au Centre National d’études des Télécommunication

Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences, Faculté des sciences, Université de Montpellier

Charles Bourdeau, ingénieur de recherche, retraité du CNRS

Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’IFREMER

Eric Perera, Sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Montpellier

Marie lecomte-Tilouine, anthropologue, chercheuse au CNRS

Daniel Richard, Professeur retraité des Universités en Neurosciences

Daniel Boichu, Enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne

Élisabeth Campagna-Paluch, docteure en Anthropologie Sociale, Université Paris VIII- Saint-Denis

Claude Depollier, professeur émérite à le Mans Université

Estelle Garbay-Velázquez, maître de conférences à l’Université de Bourgogne Franche-Comté

Nadine Piat, professeur à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques

Emmanuel Piat, Maître de Conférences HDR à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques

Bernard Valette, doctorat d’État, chercheur associé au Laboratoire ISTerre (Chambéry-Grenoble, UGA, USMB), retraité de l’IRD

Martine Timsit-Berthier, Docteur en Médecine, Docteur en Sciences. Retraitée de l’Université de Liège (Belgique)

Marie-Françoise Petit-Glatron, chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie

Maxime Parisotto, Ph.D et chercheur en biochimie

Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive à INRAE

Philippe Mengue, Agrégé et Docteur d’État en philosophie

Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale

Jérôme Couillerot, professeur à l’Université Lyon 3, détaché auprès de l’université St Joseph (Beyrouth, Liban)

Bruno Décoret, maitre de conférences agrégé de mathématiques HDR

Christophe Lemardelé, enseignant, historien des religions

Christophe Brochier, sociologue, maître de conférences à l’Université Paris 8

Maxime Prévost, Professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Canada)

Franck Galtier, chercheur en économie politique au CIRAD

Anne Mandeville, Maître de conférences HDR en science politique à l’Université Toulouse Capitole

Milagros Ezquerro, Professeure des Universités

Raphaël Gély, Professeur aux Université Saint-Louis (Bruxelles, Belgique)

Caroline De Mulder, professeur à l’Université de Namur (Belgique)

Michèle Crogiez Labarthe, professeur ordinaire à l’Université de Berne (Suisse)

Madalina Calamaz, maître de conférences des universités

Benoit Marpeau, Maître de conférences en Histoire à l’Université de Caen-Normandie

Jean-François Georgis, Physicien, Maître de Conférences à l’Université Toulouse III

Nadia Lamm professeure retraitée de l’Université de Rouen

François Rosset, professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne (Suisse)

Hélène Bregani, psychologue (retraitée) à l’Université de Genève (Suisse)

Anne Mantero, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté

Christian Ferrié, Professeur de chaire supérieure (CPGE, Strasbourg)

Hélène Pelczar Maître de conférences

Georgie Durosoir, professeur émérite à la Sorbonne Université

Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université d’Aix-Marseille

Valérie Lowit Ingénieure d’études à l’Université de Paris

Christophe Leroy, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire

Jean Jimenez, docteur en Génie Biologique et Médical

Alain Brunel, docteur en biologie

Maya Habegger, Docteur en psychologie cognitive, neurosciences et biologie neurale

Michel Herren, docteur en philosophie (Lausanne)

Jean-Marc Del Percio-Vergnaud, docteur en science politique

Simon Archipoff, docteur en informatique

Christophe Andréo, docteur en sociologie

Nicolas Murcier, docteur en sociologie

Eveline Jaumary-Lapeyre, Docteur en Science Politique et droit public

Damien Gauden, Docteur ès sciences physiques

Patrice Gibertie, PhD, géographe

Françoise Gil, sociologue

Véronique Verdier, Docteur en philosophie, Université Paris 1

Marc G. Wathelet, Ph.D., docteur en biologie moléculaire

Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques

Patrick Frayssinet, docteur en médecine, docteurs es sciences

Martine Lacour Masvigner, docteur en psychologie

Agnès Segura, Docteur en psychologie

Géraldine Bérail, Docteur en chimie de l’environnement et santé

Maxime Izoulet, docteur en économie de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS, Paris)

Agnès Lainé, historienne, Institut des mondes africains

Georges Herault, Professeur des universités

Alain Delannoy, docteur de l’Université d’Orléans

Gérard Maudrux, médecin, ancien président de la Caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins

Michel Cucchi, Directeur d’hôpital

(...)

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Publié dans Coronavirus

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