+ DE GRIPPES QUE DE COVID
TOUT VA BIEN ! C'EST DÉJÀ FINI, IL N'Y A PAS D'ÉPIDÉMIE !
Situation observée en médecine générale pour la semaine 48 de l’année 2021, du 29/11 au 05/12/2021 par le réseau Sentinelles (Inserm, Médecine Sorbonne université, Santé publique).
INFECTIONS RESPIRATOIRES AIGÜES (IRA)
Virus grippal
Rhinovirus (hRV)
Virus respiratoire syncytial (VRS)
Métapneumovirus (hMPV)
SARS-CoV-2 (COVID-19)
https://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=bulletin
UNE ESCROQUERIE BASÉE SUR DES TESTS NON FIABLES
En France, en 2016, le seuil épidémique des syndromes grippaux était de 173 cas pour 100.000 habitants, le seuil d'alerte est actuellement de 50 cas positifs à des tests pas fiables sur 100 000, sans consultation ni symptômes. En Suisse il est fixé à 68 cas pour 100.000 habitants. En Belgique, Sciensano le fixe à 153 malades avec un syndrome grippal (température élevée, toux, écoulement nasal, mal de gorge, maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, etc.) pour 100 000 habitants, pendant une durée de 15 jours consécutifs. https://www.futura-sciences.com/sante/definitions/medecine-seuil-epidemique-15825/ https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/bulletin-grippal-hebdomadaire-29-01-2020-seuil-epidemique-franchi
Actuellement le gouvernement calcule le taux d'incidence du covid-19 sur le nombre de cas positif aux tests PCR, il correspond au nombre de tests positifs pour 100 000 habitants sur 7 jours glissants. Mais une très grande partie des positifs aux tests sont sans symptômes, donc pas malades, et n'ont pas eu de diagnostique d'un médecin, ils ne devraient pas être compté dans le calcul du taux d'incidence. https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/indicateurs-de-lactivite-epidemique-taux-dincidence-de-lepidemie-de-covid-19-par-metropole/
Ce taux d'incidence du covid-19 est ainsi surgonflé artificiellement par le gouvernement... Il n'y a pas d'épidémie depuis de nombreuses semaines. La peur de maladies imaginaires et le truquage des chiffres profitent largement aux corrompus d'un pouvoir liberticide et aux actionnaires des multinationales pharmaceutiques.
Nous sommes dans une période confuse. Nous sommes les victimes d’une escroquerie sanitaire, dont le pass n’est que le maillon sécuritaire, dans une vaste entreprise d’informatisation et de contrôle de notre survie quotidienne qui permet l’instauration accélérée d’une société robotisée autoritaire et totalitaire.
Toute cette supercherie s’est construite sur la confusion entretenue par les médias et les politiques, faisant passer tous les positifs à des tests non fiables, pour des malades réels. En augmentant la sensibilité de ces tests on peut augmenter artificiellement le nombre de cas positifs, pris ainsi pour des malades. Les chiffres ont été truqués, le nombre de morts surévalué par un amalgame de comorbidités et de faux positifs.
On nous fait croire à une épidémie qui n’est plus là. La peur fait vendre des tests et des injections géniques expérimentales, qui rapportent des centaines de milliards à des milliardaires plus que comblés.
L’escroquerie sanitaire a permis l’emballement de l’informatisation générale des rapports humains. La société robotisée conditionne ainsi la représentation du monde, automatise sa gestion et normalise la communication et les comportements. La technopolice contrôle le quotidien de chacun, détecte les non-conformes, les isole, les réprime et les confine. La publicité uniformise le style de survie dans la soumission, partout et tout le temps, l’intelligence du moment semble effacée, mais seulement en apparence, dans le spectacle de la soumission des médias du pouvoir dominant.