PLUSIEURS HÔPITAUX SUSPENDENT LA VACCINATION
Trop d’effets secondaires,
trop de soignants en arrêt maladie
Plusieurs hôpitaux ont préféré prendre leurs précautions en constatant des effets secondaires trop invasifs chez son personnel vacciné. Et qui de fait, a dû prendre des arrêts maladie.
Ainsi à Brest, 20 à 25 % des effectifs soignants ont dû s’arrêter de travailler pour faire face à de gros maux de tête et de fortes fièvres. Idem à l’hôpital de Saint-Lô en Normandie, où 15 % du personnel vacciné a fait des malaises avec de la fièvre et des nausées au lendemain de la première dose du vaccin Astra Zeneca. L’hôpital de Quimper a fait les mêmes constats.
Et de fait, face à ces signalements en série, l’Agence nationale du médicament a recommandé de vacciner de façon échelonnée le personnel d’un même service dans les établissements de santé. L’agence sanitaire fait état de 149 cas soumis à des fières élevées, des courbatures et des maux de tête, touchant pour la plupart des professionnels de santé d’âge moyen de 34 ans.