MANIFESTE POUR UN CARNAVAL DES SOURIRES :)
Ce texte de citoyens ordinaires est un « manifeste du réalisme » face à la psychose mondiale déclenchée par les États autour de l’apparition du syndrome grippal appelé Covid-19. Depuis 2020, nous vivons en France sous le régime d’une politique de la terreur. Des mesures délirantes, prétendument « sanitaires » mais extrêmement agressives contre notre santé, notre économie et nos libertés, nous ont été imposées, sans la consultation des citoyens, ni aucune base scientifique sérieuse et indépendante des lobbies pharmaceutiques.
Le régime démocratique est devenu le seul système politique au monde où l’on arrive à faire croire au peuple qu’il s’étouffe de ses propres mains - et que… c’est pour son bien : c’est par l’intermédiaire de ses « représentants » qu’il s’est retrouvé entre autres confiné et dans l’obligation de porter des masques de la mort, asphyxiants, nocifs et parfaitement inutiles. Les trois pouvoirs, normalement séparés par la Constitution, ont presque fusionné en un seul, ou un et demi. Le seul qui reste pour faire contrepoids est l’original souverain de toutes ces photocopies du pouvoir : le peuple. Mais celui-ci est aux abois, fataliste, démoralisé, en souffrance atroce, sans perspectives d’avenir, vivant sous un stress destructeur de son système immunitaire, une propagande totalitaire mensongère et un matraquage médiatique quotidien, comme jamais auparavant. Aujourd’hui nous voulons sortir de cet enfer. Nous voulons mettre un terme concret à cette « politique infectieuse » d’un gouvernement incapable et meurtrier. Le peuple doit arrêter désormais de supplier son faux double, ce pouvoir « législo-judicio-exécutif », de lui venir en aide, et se prendre en main.
Or, un seul geste individuel suffit pour arrêter toute la crise et retrouver le plaisir de vivre. Nous avons découvert en effet que le « masque sanitaire » était un outil formidable de manipulation des masses. Nos preuves sont détaillées dans la déclaration ci-dessous en 29 points. Nous vous proposons de participer à partir du mardi gras 16 février 2021 à un anti-carnaval de la liberté où chacun fera enfin tomber le masque pour afficher son plus beau sourire et ne se « déguiser » qu’en lui-même, sous un slogan aussi international et fédérateur que « I cannot breathe ! », « j’étouffe ! », ou encore « je baisse mon masque, je remets mon sourire ! ». Ce sera le début d’un effet boule de neige qui aboutira à faire tomber le masque lui-même de cette mascarade « sanitaire » une bonne fois pour toutes. Les amendes sont illégales, ne payez plus votre droit à respirer, elles seront toutes annulées suite à la victoire du peuple dans sa résistance constitutionnelle et sacrée contre toute forme d’oppression (article 2 DDHC).
Tant qu’il y aura le masque, il y aura le COVID et tout ce qui va avec (fermetures lieux publics, couvre-feu interminables, confinements, propagande, maladies, etc.). Lorsque la survie de ceux qui souffrent passe par la masse, alors tout le monde est « réquisitionné », même les égoïstes. Nous n’attaquons pas des personnes, mais un système inhumain et ses personnages devenus fous. Il faut agir vite et fort, comme l’éclair et la foudre. Le compte-à-rebours est lancé : combien de jours te faudra-t-il, lecteur, une fois que tu as compris, pour remplacer un carnaval de la mort par un festival du sourire, du cœur et de la liberté ? Et toi alerteur pour en avertir tous tes lecteurs ?
Il est clair que beaucoup de bavards vont se défiler à l’heure du remède (la psychanalyse parle des « bénéfices de la maladie »), mais pour les autres c’est désormais notre démasquement qui doit devenir viral. Ce qui est proposé ne demande aucun effort physique, aucune violence, aucune manifestation collective, aucune rébellion, aucune illégalité : on annonce un jour à tout le monde, chaque personne en bonne santé sort à partir de ce jour J sans son masque...
Et c’est toute la pyramide de l’oppression qui s’écroule dans les jours qui suivent.
Cette stratégie simple mais puissante n’a encore jamais été essayée et nous n’avons pas grand-chose à perdre à la mettre en œuvre une seule fois.
Et si jamais quelqu’un vous demande : « vous vous croyez où…? ». Eh bien, en France, le soi-disant pays des droits de l’homme...!
Voici notre déclaration pour vous « démanipuler » en 29 points :
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En faisant converger toutes ses mesures vers un « confinement portable », une sorte de téléphone visuel communiquant à la vitesse de la lumière le virus de la peur entre les gens,; ce à savoir…le masque, bâillon visible sur le nez que de chacun porte comme une marque de soumission absolue où se concentre presque toute une politique répressive « sanitaire » Covid;, ainsi que son auto-justification pour le porteur même incrédule;, le gouvernement a commis une erreur stratégique monumentale : il s’est créé son propre talon d’Achille. Le moindre coup porté sur ce point faible le déstabilisera comme un « Goliath » face à un « David » - opération que l’on pourrait nommer « Govid ».
2
Le masque est pour le gouvernement la solution de manipulation idéale : vu son expérience désastreuse de l’année dernière (2020), il n'a plus vraiment d'intérêt à un nouveau confinement total de la population (économie nationale entièrement bloquée, risques de violences urbaines graves, opposition de la haute Cour, voire coups d’État, etc.), mais il pourra toujours faire miroiter ce 3ème reconfinement face à une population masquée, soumise, en manque d’oxygène, intoxiquée et qui n’est plus maître de son instinct de survie (voir plus bas).
3
Masque et confinement sont deux faces de la même pièce. Le peuple n'a plus d’autre choix que de lutter contre le confinement ou, plus facilement (*) contre le masque. S’il met d’abord bas au masque, il deviendra extrêmement difficile pour le gouvernement de lui justifier le confinement et d’y amener de force des gens récalcitrants qui ont repris goût à la liberté de sortir et de respirer. Mais si le peuple préfère se laisser remettre en confinement avant de « contester » le masque, l’État pourra encore lui négocier sa sortie avec le masque comme moindre mal, exactement comme ça s’est fait l’an dernier.
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Il existe, selon moi, un mécanisme simple et fondamental en psychologie, celui de l’inversion logique instable de la cause et de la conséquence chez l’homme (surtout en baisse d’attention) : sous certaines conditions, A => B fluctue spontanément en B => A, et vice versa. Exemple : du principe officiel "l'urgence sanitaire justifie le masque", les gens sont passés insensiblement au principe "le masque justifie l'urgence sanitaire". Autrement dit, même l’incroyance au « canular Covid » est de nature à s’émousser chez quelqu’un qui se lève le matin pour sortir avec le masque : dans son inconscient, puisqu’il porte le masque c’est qu’il y a vraiment quelque part une raison valable, il n’y a « pas de fumée sans feu », pense-t-il en son for, alors que la chimie (e.g. dégagement gazeux d’hydrogène H2 d’un mélange entre acide chlorhydrique HCL et aluminium Al) comme la psychologie (e.g. fausses rumeurs) abondent d’exemples de « fumées sans feu ».
On peut parler aussi de dissonance cognitive (Festinger, 1957), ce phénomène bien connu de la sociologie, de la psychologie des sectes et des experts en manipulation : lorsque l’esprit subit une forte contrariété de ses croyances avec la réalité, il tend à calquer celle-ci à celles-là afin d’atténuer son malaise. Le masqué Covid qui croit suffoquer sous son masque pour la bonne cause va tenter d’éliminer toute opinion contraire, aussi scientifique et bien établie soit-elle : s’il « croit », c’est qu’il y a quelque chose (c’est en somme de la mauvaise foi). D’où l’accusation fréquente et la chasse aux « complotistes ».
Je vois donc paradoxalement dans le camp des « covidistes » comme des « anticovidistes », une même croyance plus ou moins nette que « le gouvernement a raison/les mesures sanitaires répressives sont justifiées parce qu’on porte le masque ». D’ailleurs, il n’est qu’à voir les manifestations « anti-mesures Covid » dans le monde, où souvent l’on voit des manifestants…porter le masque, ou encore les restaurateurs qui s’acharnent à le porter alors qu’il est la clé de leur effondrement économique (voir plus bas). Comment les gouvernements peuvent-ils nous prendre au sérieux ?
5L'ordre de la « terreur sanitaire » qui se déroule n'est pas naturel pour le peuple, c’est ce que l'on appelle un équilibre instable (ou un méta-équilibre) en physique, facilement transposable en psychologie, équilibre qui peut durer très longtemps sans être pour autant difficile à basculer. L'avantage est qu'il suffit du moindre petit mouvement suffisant pour faire s'effondrer un tel pseudo-équilibre. D’où notre image d’une pyramide inversée sur le sol, afin d’illustrer l'équilibre instable de la manipulation gouvernementale, intermédiaire entre la physique du solide et la « pyramide à l’endroit » de la hiérarchisation des normes (cf. juriste Kelsen de l'école positiviste), des normes les moins autoritaires à la constitution au sommet.
Cette pyramide de la manipulation évoque aussi une perversion du droit. Le sommet à terre représenterait l'obligation de porter le masque, entraînant elle-même l’autosuggestion du peuple à l’existence d’un danger très grave pour sa santé, la légitimité des méthodes officielles de lutte contre le Covid, la soumission par un signe reconnaissable du peuple à l’autorité, l'obligation de fermer les restaurants-cafés et lieux publics, l’intérêt de s'asphyxier pour sauver des vies, d’instaurer des couvre-feu militaires pour une grippe, etc. jusqu’à la justification des confinements et du vaccin anti-Covid tout en haut de la pyramide.
Or, autant la pyramide des droits est stable, autant celle de la manipulation est instable : il suffirait de mettre un coup de pied massif au sommet posé sur le sol pour faire tomber toute la manipulation gouvernementale. Il suffit que le peuple enlève le masque un seul jour « festif » pour qu'il n'ait plus jamais envie de le remettre. Et à ce moment-là il se maudira de l'avoir porté aussi fanatiquement : "comment ai-je pu ?" Le retour au masque, et a fortiori au confinement, lui apparaîtra désormais impossible et contre-nature (sauf bien sûr dans certains cas sanitaires avérés).
Mais dans le même ordre d'idée sur les équilibres, il suffirait qu'un relativement petit nombre de personnes dans le peuple enlèvent le masque devant les autres pour que ceux-ci les suivent par mimétisme, une sorte de magnétisme instinctif très puissant, car on envie beaucoup plus une personne qui respire librement que dix autres qui s'asphyxient pendant des heures ou restent confinées chez elles des jours entiers. Je rappelle de mémoire la fameuse phrase de Mark Twain, l’auteur de Tom Sawyer : « ils ont réussi parce qu’ils ne savaient pas que c’était impossible »…
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Je ne sais pas si les gens se rendent bien compte de l’importance ABSOLUE du masque pour les gouvernants. Presque TOUS les restaurants-cafés de France et dans le monde ont été obligés de fermer à cause du simple prétexte qu’il faut retirer le masque pour pouvoir manger ou boire. En un sens, porter le masque, se priver d’oxygène, devient donc plus important que manger ou boire, ou entretenir des liens sociaux autour d’un café. On se prive d’une fonction vitale pour empêcher d’autres fonctions vitales. Mais pourquoi ? Avant de m’intéresser au masque, je me suis longtemps posé la question de la pertinence de cette mesure : en effet, la plupart des restaurants-cafés ne sont-ils pas parmi les lieux les plus hygiéniques, les plus sécurisés de tous en matière sanitaire ?
J’ai vu dans ces endroits une organisation incroyable, tables et chaises bien séparées entre voisins, lignes tracées entre elles, produits de désinfection obligatoire, propreté du personnel et du matériel, etc. Alors qu’au contraire, dans les tramways, les magasins de grande surface, et ailleurs les gens sont souvent agglutinés les uns contre les autres, aucune distance sanitaire, aucun produit désinfectant, des poignées touchées par tout le monde, des sièges communs, etc. Mais pourquoi ce paradoxe ? Et là j’ai compris : LE MASQUE. On peut l’obliger dans un tramway, ou un grand magasin, ou partout où les gens ne sont pas obligés d’utiliser leur bouche pour avaler, mais évidemment pas dans un restaurant ou un café. Pour cette seule raison, pour la seule nécessité stratégique d’imposer un masque en permanence, on a décidé d’interdire l’ouverture de tous les lieux de consommation publique.
7
L’inutilité médicale absolue du masque et l’aggravation de la situation sanitaire due au port obligatoire du masque sont scientifiquement démontrées depuis l’an dernier, voir par exemple la plainte du groupe Réactions 19 - fondé par des juristes en collaboration avec des médecins et des citoyens - au procureur de la république de Paris (qui a ouvert une enquête préliminaire) et les données scientifiques apportées comme pièce à conviction :
https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2020/12/Plainte-masques-fusionne%CC%81e-signe%CC%81e.pdf
Voir en particulier partie I, notamment 3) sur l’inutilité et la nocivité du masque. Sur le fait que son port obligatoire, sans l’assistance d’aucune étude médicale et sociale pour évaluer ses points positifs et négatifs sur le public, constitue une mesure absolument contraire aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans son rapport du 5 juin 2020, voir pp. 18 à 21 du lien ci-dessus, ou directement le rapport de l’OMS, pp. 9 et 10, où l’on trouve :
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf?sequence=1&isAllowed=y
• 5 « avantages », dont 2 seulement potentiellement médicaux et 3 de pure manipulation psychologique (impression donnée aux gens de contribuer à stopper la propagation d’un virus, rappel à la population des autres mesures à respecter, effets socioéconomique d’encouragement des gens à fabriquer leurs masques).
Contre…
• 11 désavantages, dont 10 sont purement physiques ou médicaux (risques graves d’auto-contaminations, lésions cutanées, maux de tête, troubles psychiatriques, inconforts, mauvaise gestion hygiénique des déchets, risque pour l’environnement, etc.) et un désavantage psychologique lié au sentiment d’une fausse sécurité qui encouragerait les gens à se relâcher sur les autres mesures sanitaires, ce qui est l’exact contraire de l’un des « avantages psychologiques » cités plus haut (les deux s’annihilent).
Malgré ce « 10 contre 2 » sur les dangers médicaux, sanitaires et environnementaux graves liés aux masques, bien certifiés même par une OMS elle-même corrompue et complice depuis le début de toutes ces industries pharmaceutiques qui profitent de la psychose Covid (pour ne pas dire qu’elles l’ont créée de toutes pièces), des gouvernements, dont la France, maintiennent son obligation. Suite à son bilan théorique largement en défaveur du masque, à aucun endroit de son rapport l’OMS n’appelle à l’obligation du port du masque, mais se contente au pire de l’encourager dans certaines situations et sous certaines précautions nécessaires. Elle conclut (p. 10 de son rapport, je souligne) :
« Si le port du masque est recommandé pour le grand public, les décideurs politiques devraient :
• communiquer clairement le but recherché, indiquer où, quand et comment le porter et le type de masque à utiliser, expliquer les résultats que le port du masque permettra ou ne permettra pas d’atteindre et préciser clairement que le port du masque s’inscrit dans le cadre d’une série de mesures aux côtés de l’hygiène des mains, de la distanciation physique et d’autres mesures, toutes nécessaires et qui se renforcent mutuellement
• former la population au port du masque et indiquer aux gens quand et comment le porter en toute sécurité (voir les sections sur la gestion et l’entretien des masques), c’est-à-dire comment le mettre, le placer correctement, l’enlever, le laver et le jeter
• examiner la faisabilité du port du masque, les questions d’approvisionnement et d’accès et l’acceptation sociale et psychologique (de comportements qui consistent à porter ou à ne pas porter tel ou tel type de masque dans tel ou tel contexte)
• continuer à recueillir des données scientifiques sur l’efficacité du port du masque (y compris de différents types et marques ainsi que d’autres moyens de se couvrir le visage, par une écharpe par exemple) dans des contextes autres que les soins de santé
• évaluer l’effet (positif, négatif ou neutre) du port du masque par le grand public (y compris du point de vue des sciences sociales et comportementales). L’OMS encourage les pays et les communautés à adopter des politiques sur le port du masque par le grand public et à effectuer des recherches de qualité pour en évaluer l’efficacité dans la lutte contre la transmission » Au moins 4 de ces 5 recommandations ont été outrageusement méprisées par les gouvernements, dont en premier lieu la France avec sa répression sauvage.
8
En ce qui concerne les chiffres de « victimes Covid », ils ont été largement falsifiés. Santé Publique France, observatoire national des maladies, est un exemple intéressant pour étudier les mécanismes de la désinformation officielle. C'est en comparant sa méthodologie et ses statistiques sur la grippe saisonnière et sur le Covid que j'ai confirmé mon sentiment sur l'arnaque gouvernementale et médiatique : aucun indice ne justifie l’idée que le Covid soit plus grave et plus contagieux que la grippe, bien au contraire. La « crise Covid » m’a surtout montré combien la grippe saisonnière était meurtrière chaque année sans que presque personne n’en parle. Bien que de même nature et provoquant à peu près les mêmes symptômes, le virus du Corona (à juste titre appelé la « grippette » par des chercheurs) ne fait « pas le poids » face aux pouvoirs de contagion foudroyants de la grippe, qui touche abondamment toutes les catégories d’âge (le Covid privilégiant les personnes âgées et à maladie respiratoire), alors que de nombreux vaccins et médicaments existent pour son traitement. Et pourtant, presque tout le monde vit paisiblement avec la grippe et s’en soigne très bien, sans en faire un scandale planétaire!.
Si un projecteur médiatique quotidien avait été braqué sur les chiffres de la grippe comme sur le Covid les années précédentes, on aurait eu des dizaines de psychoses encore plus folles qu’aujourd’hui. En fait, sur son site, Santé Publique France a repris exactement les mêmes consignes sanitaires que pour la grippe, le même design, les mêmes pages web et a juste remplacé le mot "grippe" par "covid". Par ailleurs, le comptage des victimes de la grippe se fait traditionnellement de manière très particulière chaque année (SPF l'explique lui-même) : on ne compte pas directement les morts attribués à la grippe, mais on procède par "élimination". Ainsi, du nombre total de décès annuel en France, on retranche les morts naturels, par accidents, maladies, etc. et on en déduit le nombre de cas grippaux mortels. C'est déjà une méthode assez aléatoire. Je me suis demandé alors comment diable avec cette méthode, Santé publique France allait décompter les cas mortels de Covid 2020 en les distinguant de la grippe…
Ce que je craignais a fini par arriver : l’Institut a officiellement déclaré sur son site depuis le printemps 2020 qu'il suspendait le comptage de la grippe pour se consacrer exclusivement au Covid, sauf cas avérés de grippe. La grippe 2019/2020 n’a plus ou peu été documentée (ses chiffres ont brutalement baissé de manière inédite, pour voir à l’inverse une hausse drastique des « cas » Covid sur la même période) et toutes les données sont manquantes sur les graphiques pour la grippe 2020/2021 :
« Dans le contexte de la pandémie liée au SARS-CoV-2, les indicateurs épidémiologiques de la grippe de la saison 2020-21 et plus particulièrement la surveillance des syndromes grippaux sont impactés par la surveillance liée à la COVID-19. Dans la situation actuelle, la surveillance de la grippe repose uniquement sur les diagnostics confirmés de grippe : données virologiques, cas graves de grippe admis en réanimation et les signalements d’épisodes d’infections respiratoires aigües liés à la grippe dans les collectivités de personnes âgées. Ce bulletin évoluera en fonction de la situation épidémiologique […] Dans le contexte actuel de l’épidémie de COVID-19, la surveillance des cas graves de grippe est menée conjointement avec la surveillance des cas de COVID-19 admis en réanimation ».
Ce qui signifie en clair que les victimes du Covid sont comptabilisées pêle-mêle avec celles de la grippe...Tous les chiffres sont trafiqués ainsi depuis le début de la crise. Nous en avons toutes les preuves, issues de sources sûres et officielles (**). La manipulation des chiffres de l’épidémie de coronavirus continue. Toujours selon les données officielles et sans vouloir nous prêter à un jeu macabre sur les chiffres de mortalité (une seule personne qui meurt, c’est déjà « trop »…), on constate que le taux de létalité dû au Sars-Cov-2 est de 5 pour mille, voire moins dans les pays bien équipés en dispositifs médicaux. L’âge moyen au décès par Covid est de 81 ans et plus de 80% d’entre eux ont des maladies chroniques. Le Covid est par bien des aspects comparable à une grippe saisonnière. Depuis plusieurs semaines, le nombre de « cas » Covid vus en consultation stagne en-dessous de 20 pour 100 000 habitants. Nous ne parlons même pas des hospitalisations, rares depuis le mois d’avril.
Quant au taux de mortalité, il n’a pas augmenté de façon remarquable depuis l’arrivée du coronavirus en France. En effet, en 2020, le taux de mortalité était de 9,8 pour mille contre 9,1 en 2019, sachant que ce taux suit une tendance à l’augmentation depuis environ une décennie due au vieillissement de la population. Ce qui s’est passé en France en termes de mortalité est donc parfaitement « normal ». De plus, les chiffres officiels de mortalité du Covid ne différencient pas ceux qui sont morts du Covid comme cause première de ceux qui sont morts en étant porteurs du Covid. Il s’agirait donc à tout prix de gonfler les chiffres. "Jamais on n’a connu une telle manipulation avec la grippe saisonnière"…
À cause de ce terrorisme par les chiffres, de nombreuses personnes souffrant de maladies graves (cancer et autres) ont été renvoyées chez elles, leurs traitements retardés, et elles en sont mortes, des opérations chirurgicales vitales ont été repoussées, les dépressions, crises de nerf et troubles psychiatriques ont été démultipliés, les violences dans les foyers et au dehors ont explosé. Une guerre civile se prépare si l’on ne fait rien.
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La menace d'un 3ème confinement encore plus dur que les précédents (ce fameux "Carême" où l'on devra jeûner de nos libertés physiques, que je prévois après le "Carnaval de la mort" des masques obligatoires) reste envisageable, même si peu probable. Le gouvernement a eu tout le loisir de mesurer nos docilités grâce au port du masque. Il continuera à agiter différentes menaces suivant ses plans de reconditionnement et mise au pas des Français (cette souche potentiellement dangereuse de « gilets jaunes »…). Le 1er confinement sauvage de mars 2020 avait été réussi à coup de panique mondiale autour d’un danger imaginaire, encore totalement « inconnu » : un « David Vincent » imposteur avait alors annoncé une guerre contre des envahisseurs invisibles. L’Élysée est conseillé par un « comité scientifique » secret, illégal et corrompu (certains de ses membres sont en conflit d’intérêts avec de grosses industries pharmaceutiques et des fabricants de vaccin). Le gouvernement français goûte enfin le plaisir d’une dictature totalitaire et disciplinée de type stalinienne. Le peuple terrifié puis confiné finit par accepter sa libération en mai-juin au prix de l’obligation de porter un masque.
Le lien social (avec ses risques de « subversions ») reprend timidement ses droits, dans les restaurants, les cinémas, les établissements scolaires, etc. jusqu’au 2nd confinement de fin octobre à janvier 2021, que notre population apprivoisée acceptera sans broncher. Ce fut comme un retour à ses étables du « peuple bêlant », après une brève incursion au pâturage. Aujourd’hui encore, le masque reste pour le régime en place la meilleure arme de sa politique de manipulation, le meilleur curseur pour décider d’un relâchement, d’un durcissement, ou…de l’arrêt définitif et total de ses mesures « confinatoires ». Si le masque saute, le pouvoir perdra tout indicateur fiable, puis tout contrôle de sa tyrannie. Et il est prêt à sauter, mais c’est à nous de le faire.
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Si la quasi-totalité porte le masque, de plus en plus d’enfants et d’adultes, très probablement la majorité, doutent désormais de son efficacité et le vivent comme un fardeau. Les lanceurs d'alerte de tous bords ont fait du bon travail. Il peut toutefois leur être reproché de ne pas assez s'unir autour d'une stratégie concrète, simple, compréhensible et acceptable par tout le monde. Leurs informations partent dans tous les sens, alors que le « Bloc » d'en face (les "pro-mesures"), aussi idiot, pauvre en idées, irréaliste et mensonger soit-il, a le mérite d'être soudé sur une même politique totalitaire de terrain (« portez le masque, etc. »). D’où notre appel au peuple à se concentrer sur un démasquage de masse à partir d’un jour J fixé.
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Comment redonner confiance aux réfractaires à retirer le masque ? Eh bien, d’abord en montrant l’exemple grâce à un sourire généralisé, une sorte de fête populaire, un instant ludique qui dérouille les esprits, un peu comme ce carnaval des démasqués. Les réfractaires purs et durs sont sûrement une minorité, la plupart des citoyens attendant le moindre prétexte pour jeter fièrement leur masque, le visage de la manipulation qu'il cache derrière, et enfin respirer librement. Les arguments pseudo scientifiques des pro-masques ne tiennent plus depuis des mois : contradictions des ministres, témoignages de nombreux médecins sur l'inutilité du masque pour stopper un virus alors qu’il a été conçu pour les bactéries (bien plus grosses que les virus), etc. Je crois que c'est par inertie mentale que beaucoup de gens continuent à le porter et chacun attend que son voisin réagisse pour faire de même. Jeu d’imitation qui peut durer encore très longtemps...
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Ce qui manque encore semble-t-il à ce début de prise de conscience collective, c'est de bien comprendre l'importance que revêt ce masque dans les plans sombres de la manipulation gouvernementale (cf. l'image d'une pyramide fragile posée sur son sommet) : les autorités ont TOUT misé dessus. Les gens ne sont peut-être pas encore avertis de la puissance - et la sécurité personnelle aussi - qu'il y a derrière ce geste simplissime de retirer définitivement cet accoutrement ridicule à l'occasion symbolique d’un Carnaval des démasqués, où chacun ne se "déguiserait" enfin qu’en lui-même.
Sans masques, plus rien n'empêcherait l'ouverture des restaurants, cafés, salles de sport, cinéma, etc. Sans compter les implications politiques à grande échelle : face à un gouvernement déjà malsain, mal réputé et inefficace, mais de plus en perte d'autorité, le Sénat et l'assemblée nationale, qui n’ont pas brillé par leur défense du peuple jusque-là (surtout la seconde, le Sénat ayant rejeté le vote de confiance du gouvernement) n'auront plus d'autre choix que de le pousser à la démission (motion de censure, article 49 de la Constitution du 04 octobre 1958), démarche qui peut atteindre le président lui-même (article 68, idem).
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Finalement, où commence le « peuple » dans toutes ces démocraties représentatives ? À quel niveau administratif peut-il faire valoir sa « souveraineté » ? Où se trouvent les représentants censés transmettre ses volontés en souffrance, aujourd’hui de plus en plus pressantes ? À partir de combien d’individus en détresse mérite-t-on la qualification de « peuple » ? À partir de combien d'enfants obligés de porter un masque traumatisant, combien de suicidés, de faillites économiques ? On a enfin la réponse grâce à cette crise sanitaire : nulle part.
Le vice des fausses démocraties est en effet de rétorquer à ses groupes de citoyens contestataires : « vous n’êtes pas encore assez nombreux pour vous prétendre le peuple ». Et lorsqu’ils sont assez nombreux : « vous avez vos représentants, laissez-les faire ». Et lorsque ces derniers, atteints de corruption et d’affinités privées, court-circuitent le retour de la volonté du peuple vers lui-même, alors il n’y a plus rien à faire d’autre pour le peuple que de reprendre ses droits à la souveraineté politique.
L’épidémie "Covid" a révélé un dysfonctionnement ancien mais fondamental dans nos « démocraties » : lorsque les représentants directs ou indirects (députés, sénateurs, ministres, président, etc.) cachent suffisamment leurs infidélités envers leurs électeurs, les gens sont encore dans l’illusion qu’ils sont bien gouvernés et que le pouvoir leur appartient, que leur représentation n’est qu’une courroie de transmission « neutre » de leur volonté générale vers eux-mêmes en passant par les rouages de l’exécutif.
Mais dès que la corruption politique se révèle, il apparaît au grand jour que c’est à l’inverse le peuple qui est la courroie de transmission du pouvoir en place vers ses intérêts exclusifs. Lorsque cette courroie refuse de fonctionner, il y a répression du peuple par le gouvernement et ses complices, forces de l’ordre, législateurs et juges. Ce n’est pas le virus du Covid qui s’est le plus transmis de Chine à l’Occident : c’est celui d’un pouvoir totalitaire et criminel. Et il a trouvé dans nos « démocraties » un parfait et heureux porteur « asymptomatique », pour le diffuser vers les masses.
Confinements, couvre-feu, port obligatoire du masque, sanctions par de lourdes amendes ou la prison, propagandes officielles pour un régime menteur, et autres méthodes barbares : on assiste à la propagation mondiale d’un totalitarisme communiste "à la chinoise" : les pays d’accueil connaissent une nouvelle « chasse aux sorcières », où les opposants à l’envahisseur, les « complotistes », deviennent les « comploteurs » (alors qu’au contraire ils dénoncent le complot qui a fait envahir leur pays).
L’État criminel chinois a été le premier à confiner : cette manœuvre répond bien à une politique totalitaire communiste, complètement inadaptée à nos pays, ce qui d’un autre côté nous donne une idée de la répression concentrationnaire qui s'abat en particulier sur les Ouïghours (et sur le peuple de Chine tout entier). Peut-être payons-nous aujourd’hui dans nos propres chairs le prix de notre laxisme international face à ces exactions.
Quoiqu'il fasse pour protester, le peuple sera donc toujours dans l'illégalité aux yeux du gouvernement. Qu’est-ce qu’un « peuple » pour lui finalement ? Juste cette entité statistique hautement manipulable par les médias qui se rend aux urnes une fois tous les trois ou cinq ans ? Tant qu'il déléguera ses propres devoirs à des représentants corrompus qui lui dictent tyranniquement ce qu'il a le droit de faire ou pas - jusqu’au contrôle de sa propre respiration ! - le petit peuple ne sera qu'un « assisté » indigne de sa « souveraineté » politique.
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Le gouvernement français et d’autres agissent définitivement comme des « pervers narcissiques » : plus vous leur obéissez, plus ils en profitent pour vous écraser. Inutile de rechercher la moindre clémence chez des pervers qui ont inversé les notions du bien et du mal (cf. étymologie latine de « perversus »). On le voit à leur escalade dans les mesures restrictives de nos vies et libertés alors que les gens ont énormément et généreusement donné d’eux-mêmes depuis le début de la crise fin 2019 pour soi-disant « sauver des vies », quitte à tout perdre pour certains, leur santé, leurs économies et…même la vie.
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Il n’est pas question de « désobéissance civile du peuple », cette notion n’a aucun sens en « démocratie », aussi défectueuse soit-elle, mais de désobéissance de l’État au peuple et à sa Constitution, donc de rappel à l'ordre par le peuple du fait que c’est lui qui est "souverain" par rapport à l’autorité, et que l’État qui s’arroge cette souveraineté en opprimant son maître, comme ici, est un usurpateur et un tyran.
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Certains se demandent encore : mais si les « complotistes » avaient raison, pourquoi existerait-il autant de partisans qualifiés d’une répression sanitaire ? Or, c’est une erreur de jugement monumentale. La réalité est toute autre : les « anticomplotistes », aussi « qualifiés » soient-ils, pensent tous comme un seul bloc, leur pensée est monolithique, extraordinairement pauvre et se résume à la pensée d’un ivrogne : « lez autorités nous dizent qu’il y a une épidémie exceptionnellement grave et contagieuse et les médias reprennent le slogan en chœur, donc z’est vrai alors obéizance aveugle à toute injonction de l’autorité, même totalitaire, et crédulité absolue à ce que débitent les médias, même zi c’est faux. Et plus zon nous demandera de réfléchir au lieu d’aller droit dans le mur, plus zon appuiera sur l’accélérateur dans la même direction, plus on s’enfoncera, moins on reculera, car dit le proverbe, qui s’accuse s’ezcuse, hic, et on gagnera par le nombre de supporters covid à défaut de la vérité ». Comme disait l’écrivain et journaliste Walter Lippman, « quand tout le monde pense la même chose c’est que perosnne ne pense beaucoup ».
Alors que de l’autre côté, toute la richesse, la réflexion, le doute, la rigueur et les finesses de la vérité scientifique, morale et déontologique sont chez les "complotistes". Toutefois, beaucoup des « covidistes » pro-gouvernementaux ne sont pas loin de revenir sur la bonne voie, car il leur suffirait de s’arrêter deux secondes, d’inspirer bien fort, et de se demander le plus sincèrement possible : Qqui finira par gagner ? Qui a toujours gagné dans l’histoire ? Un nombre conséquent d’abrutis, ou bien la vérité morale et scientifique, même peu représentée au début ? Leur ralliement à la dénonciation générale de la désinformation ambiante n’est pas encore trop tard : cela leur revient juste à se placer un peu à l’avance dans le camp inéluctable des vainqueurs.
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On a parlé de « dérives sectaires » du gouvernement. L’obligation de porter le masque en est justement l’un des puissants vecteurs. On sait que certaines sectes empêchent leurs adeptes de réfléchir en les encourageant à la rétention quotidienne d'urine le plus longtemps possible. Pour des médecins, cette mesure libère des toxines qui anéantiraient toute volonté de révolte et les rendraient manipulables. Or, il est assez évident que retenir systématiquement une partie de notre oxygène vital plusieurs heures aggrave nos risques d’hypoxémie et détruit notre concentration sur autre chose que le besoin de respirer. Le sujet devient fatigué, avachi, déprimé, malléable à souhait. Il a des difficultés à s’exprimer et à établir le contact social avec l’extérieur.
Que ce conditionnement sectaire quotidien des gens par la respiration soit volontaire ou non de la part du gouvernement, il ne peut que servir ses intérêts de domination de la « populace » qu’il méprise. Et il ne prévoit toujours aucune étude sur les effets néfastes du masque, alors que même sa complice corrompue, l’OMS, l’a préconisé. D’où une raison de plus d’enlever ce masque de la manipulation.
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Le plus "dur" serait de retirer le masque dans les magasins, les transports publics, etc. au risque de créer la résistance des employés, mais si nous sommes assez nombreux, personne ne pourra arrêter la vague, beaucoup de personnels, eux-mêmes asphyxiés par le masque, ne demandent qu’à suivre un tel mouvement spontané.
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Pourquoi arrêter le masque plutôt que les autres mesures sanitaires (distances, lavage des mains, mouchoirs) : d’abord parce que le masque, tout comme le confinement ou les couvre-feux, sont des mesures inefficaces, intrusives et très toxiques, contrairement aux autres (même si on peut aussi discuter des méfaits d’un excès de distanciation sociale). De plus, comme l’ont explicitement rappelé à leur manière le gouvernement français ou l’OMS, le masque est le signe le plus net et le plus visible de la crise : on le porte, ou on ne le porte pas. En dehors des confinements, c’est la mesure la plus obligatoire, la plus lourde et la plus sanctionnée. A la manipulation des masses par le masque, il faut donc opposer une manipulation des masques par la masse.
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Nous sommes déjà dans un « carnaval d'absurdités » : masques, distances sanitaires, vitres interposées dans les bureaux, couvre-feu de plus en plus restrictifs, etc. Il faut y mettre enfin un terme par un Anti-carnaval, sorte de « bal des démasqués », festival d’une nouvelle Résistance avec le sourire. Pour le 1er jour de ce Carnaval de la liberté, nous avons choisi la date symbolique du Mardi gras, 16 février 2021. Peu d’autres dates mettront les gens suffisamment d’accord. Avant, il serait un peu trop tôt (il faut du temps pour alerter un maximum de monde). Après, on risquerait d’entrer en « Carême » avec les plans de plus en plus sinistres du gouvernement.
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Si des gens vous affichent leur scepticisme, dites-leur simplement qu’il n’y a aucun risque à prédire qu'une théorie improbable ne marchera pas, donc aucun mérite. Il est beaucoup plus méritant de croire en une théorie audacieuse, comme celle de "tester l’hypothèse d’une poudre populaire assez « sèche » pour prendre feu à la moindre étincelle" – sinon, rien à perdre, on essaiera autre chose.
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Nous sommes dans une sorte de « Procès de Kafka » : des coupables sans chef d'inculpation, relâchés en semi-liberté, confinés, masqués, reconnus seulement coupables du crime d'exister ou de vivre et respirer. Mais la bonne nouvelle est la suivante : quand on chasse le naturel il revient au galop. Ce qui nous manque, c’est un "petit coup d’éperon à nous-mêmes".
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Le seul vrai « virus » que semble craindre le gouvernement serait plutôt à chercher du côté des Gilets jaunes : le meilleur moyen de stopper cette vague 2019 de protestations sociales à tendance quasi-mondiale n'était-il pas de la « vacciner au COVID-19 », par des techniques « sanitaires » de manipulation des foules ? Psychose autour d’un danger largement imaginaire, propagandes de fausses rumeurs, masques, destruction du lien social, confinements, etc. Le résultat est là : la crise Covid a pris le relais de la crise Gilets jaunes et ce n’est pas qu’une coïncidence. Même si le gouvernement français n'a peut-être qu'attrapé l’idée en vol (« détourner l’attention et asservir par la terreur sanitaire »), il est certain qu'elle lui sert actuellement de camisole de force du peuple tout entier.
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Il faut d’urgence réunir tous les lanceurs d'alerte, réaliser de petits clips en réponse à ceux des « covidistes » (« restez chez vous ! »), etc. : le bloc d'en face à le seul avantage d'être uni sur la même bêtise et la même action, contrairement à nous autres, unis sur la vérité mais dispersés sur la stratégie de terrain de suivre. Voici comment nous imaginons la chose : nous voudrions reprendre le modèle de ces deux vidéos intitulées « Coronavirus : chaque JOUR compte » (17) Coronavirus : chaque JOUR compte - YouTube et « restez chez vous » (17) RESTEZ CHEZ VOUS - YouTube. Chacun des lanceurs d’alerte volontaires dira une partie d’un texte face caméra et les parties seront mises bout à bout afin de constituer le message entier. Enfin, la vidéo finale sera postée sur les chaînes respectives de chaque participant. Cette manière de faire pourra avoir plusieurs avantages. Tout d’abord, il permettra de capter un maximum d’audience, ensuite, cela fera appel à la mémoire de tous ceux ayant vu au moins une de ces vidéos et le message passera plus facilement. Le deuxième avantage est que cela montrera au camp des « covidistes » qu’il y a un bloc en face, une force d’opposition. Enfin, cela sera un contrepied à cette communication.
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La gestion catastrophique de cette affaire, sous les yeux passifs d’une foule droguée aux masques et aux médias, a conduit les laboratoires à produire et les gouvernements à proposer en toute impunité (bientôt à imposer) un « vaccin » qui est en réalité une thérapie génique basée sur l’ARN (molécule connue pour se transformer naturellement en ADN), encore très mal maîtrisée, avec un risque de cancer ou autre...On ne sait pas !avec tous les risques génétiques que son injection implique en matière de modification du génome humain En temps normal, des volontaires en bonne santé se font payer pour accepter d'être cobayes, mais - comme me l’a confié un médecin - la propagande de terreur « Covid19 » a si bien fonctionné que, chose inédite, ce sont les gens qui se jettent spontanément sur le vaccin et sont prêts à le payer une fortune.
L’industrie pharmaceutique moderne nous a fait croire que notre santé était à l’extérieur de notre corps, que notre système immunitaire se trouvait « délégué » dans ses laboratoires, ses vaccins, ses médicaments, sur les étagères de ses pharmacies. Or, s’il y a un miracle en temps d’épidémie, c’est bien sous notre nez qu’il se trouve (et pas avec un masque dessus) : notre système immunitaire biologique, la plus saine, la plus puissante et la plus formidable des machines antivirales. Son entretien régulier, grâce au calme, repos, vitamines C et D, quelques plantes naturelles, etc., est un geste simple mais extrêmement efficace contre tous les types de maladies (grippes et Covid19 compris). Au lieu de cette politique préventive, les autorités industrielles, gouvernementales et sanitaires corrompues ont préféré une politique agressive par l’alarmisme et l’intoxication chimique de nos corps à coups de stress, vaccins, masques...Cela pour une raison évidente : l’externalisation artificielle de notre système immunitaire rapporte infiniment plus d’argent aux lobbies que son bon entretien là où il est.
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Le paiement d'une amende de 135 euros (4ème classe, presque la plus chère des contraventions françaises) pour non-port du masque est certes dissuasive : elle représente pour beaucoup de gens environ 1/4 du RSA (Revenu minimum légal). Mais le procès-verbal de l’amende prévoit lui-même la possibilité de la contester. Il avertit même que la payer signifie reconnaître l’infraction. Il ne faut donc pas payer l’amende, mais la contester en ligne (lien sur le procès-verbal), ce qui nous laissera du temps pour les contraventions données à partir du jour J de démasquement général. Vous pourrez les envoyer à des groupes d’action judiciaire collective comme Réactions 19, qui se chargeront de demander leur annulation officielle, ce qui sera chose faite dès le retour à un État de droit. Nous avons même constaté une certaine complaisance intelligente de la police, des procureurs et des services fiscaux à ne pas verbaliser leurs citoyens, les poursuivre ou enregistrer leurs contraventions « Covid ».
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Notre but après la crise n'est évidemment pas de mettre fin à toute politique sanitaire, mais au contraire de mettre enfin en place une vraie politique au service de la santé et non des lobbies industriels. Et bien sûr d’incriminer et juger ces derniers avec leurs complices « médicaux » et « politiques » en vue de détruire - même pour un temps - toute cette corruption qui règne en France et empêche également la respiration politique des gens. Pour cela, il nous faudra au moins un autre gouvernement, digne de son rôle : « on ne fait pas d’un âne un cheval de course ».
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Par rapport aux risques liés à notre projet, le principal risque encouru au début est de..."ne rien faire". Moralement et politiquement, notre travail s'apparente un peu à de la "désobéissance civile", notion célèbre qui pourtant n'existe pas en droit et n'est donc pas pénalement réprimée, ni d'ailleurs encouragée ou protégée : c'est le fait de refuser pacifiquement et collectivement de se plier à des obligations jugées injustes, illégales, anticonstitutionnelles, inhumaines, etc. Du point de vue juridique, c'est plus exactement la "rébellion" qui est pénalisée, mais elle ne s'applique absolument pas à notre action puisqu'une rébellion suppose une action physique violente contre des agents de l'ordre public et/ou des biens matériels.
C'est pourquoi certains restaurateurs proposent légalement de faire de la désobéissance civile non-violente dans l'espoir de voir leurs droits reconnus (ouverture de leurs restaurants, etc.). Mais je n'aime pas cette notion car, non seulement elle n'est pas (encore) source de droits, mais elle supposerait surtout que nous sommes "désobéissants" à une autorité "paternelle" qui voudrait notre bien…alors que c'est bel et bien cette autorité qui désobéit outrageusement au peuple, à sa constitution et à ses droits fondamentaux (droits à la vie, à la santé, au bien-être, au confort économique, etc.), protégés par les plus hautes instances au niveau national et international. Notre projet, dans ce contexte sanitaire où nos vies et notre santé sont réellement mises en danger, avec des tonnes de preuves à notre actif, est plus exactement de la résistance à l'oppression, notion cette fois bien reconnue juridiquement et protégée au plus haut niveau constitutionnel du droit français (***).
Une armée de juristes hautement qualifiés à travers toute la France se sont chargés de prouver la violation de nos droits par le gouvernement actuel, l'impossibilité de nous inculper pénalement et la légitimité absolue, morale et juridique de notre résistance non-violente contre cette tyrannie anti-sanitaire. Notre action rentre également dans le cadre des libertés fondamentales d’opinion, d'expression, de manifestation, de communication, d'information…
Juridiquement, nous sommes inattaquables, mais ce qui intéressera surtout le pouvoir sera "d'éteindre le "feu" populaire de démasquage avant qu'il ne prenne, ou qu’il s'éteigne trop tôt". D’où l’importance d’une « opération éclair », massive, stratégique, concertée et rondement menée.
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Notre appel pacifique s’adresse également aux policiers, magistrats, armées, etc. pour respecter le choix sacré des citoyens qu’ils ont la mission de protéger. La loi protège tous les fonctionnaires et soldats contre les représailles de leurs supérieurs lorsqu’ils refusent de se prêter à des mesures ignobles, illégales ou contraires à l’éthique (comme l’interdiction du droit à sortir, circuler ou respirer librement, mêmes pour les personnes bien-portantes). Voir par exemple : loi n° 83.634 sur le statut des fonctionnaires du 13 juillet 1983, article 28, le fonctionnaire "doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique sauf dans le cas où l'ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public". Idem pour les militaires, voir le bulletin officiel des armées n° 45, décembre 2005, décret n°2005-796, dans son article 7 : « le subordonné ne doit pas exécuter un ordre prescrivant d’accomplir un acte manifestement illégal ou contraire aux règles du droit international applicable dans les conflits armés et aux conventions internationales en vigueur en France ».
Pour conclure, toute cette crise « respiratoire », n’est pas sans nous faire penser au terrible événement de l’assassinat en 2020 de notre frère martyr, George Floyd. N’est-ce pas une sorte de « punition divine » mondiale bien méritée que de nous voir à notre tour suffoquer sous le genou d’une autorité criminelle, comme un rappel que chaque mort injuste entraîne moralement la responsabilité de l’Humanité toute entière aux yeux de Son Créateur ? C’est possible et il faut se le dire, quelles que soient nos croyances. D’un autre côté, nous avons peut-être assez souffert, voire même compris les raisons de nos souffrances.
Tout se résume à un seul geste que nous invitons tout le monde à faire : retirer son masque à partir d'un jour fixé. Le peuple sera inévitablement suivi par les magasins, restaurants, bureaux, administrations, etc. qui ont autant un besoin vital de lui que lui de sa respiration naturelle.
Une autre manière de redonner vie à Georges. Floyd. serait de ne plus jamais rester à genoux devant des oppresseurs lâches, inhumains et bornés, d’arrêter de diagnostiquer ad vitam aeternam notre hypoxémie et nos ruminations, de nous lever et de récupérer de gré ou de force notre droit absolu à la respiration et à la vie. Nous proposons l’un des slogans suivants pour arrêter ce « carnaval masqué de la mort » : « I cannot breathe ! J’étouffe ! Je retire mon masque, je remets mon sourire ! Faites comme moi, respirez à la vie ! ». Ce sera un message émotionnellement fort pour tous nos braves policiers qui veulent moralement se racheter des crimes de certains de leurs collègues.
Sur ces larmes, je vous laisse prendre avec moi les « armes », celles de la justice, de la vérité et de l’humanité. Le temps nous presse. L'étouffement s'aggrave. Nous nous battons même pour ceux qui nous combattent. Il faut fédérer du monde et diffuser notre message. Nous sommes prêts à suivre toutes les bonnes volontés. Malgré quelques non-masquées courageuses qui se sont manifestées à moi - ce sont apparemment les femmes qui mènent le combat le plus héroïque, où sont les hommes ? - la réputation de l'ensemble des français (même à l'étranger) est celle de porteurs de masques invétérés, entièrement dociles et manipulables : tant que le gouvernement nous verra sous ce jour sinistre, rien ne l'arrêtera dans sa folie de domination des masses...par les masques.
À présent, rendons viral notre démasquage lui-même.
Organisons un carnaval de libération avec pour tout « masque » notre vrai et plus beau sourire :)
Khaled Ben Letaïef, Manon Liavais, Faustina… février 2021
https://carnaval-des-sourires.over-blog.com/2021/02/manifeste-pour-un-carnaval-des-sourires.html
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(*) Des forces armées ou de police seraient plus motivées à arrêter une prise d’assaut de l’Élysée que s’occuper d’une foule de gens circulant librement et partout sans masques.
(**) Quelques liens et sources scientifiques fiables parmi bien d’autres :
Taux de natalité et taux de mortalité en France | Insee
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381868
et de mortalité en Europe : https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps/#
La démographie par tranches d’âge des décès par COVID-19 - Point 7 (ined.fr)
https://dc-covid.site.ined.fr/fr/presentation/q7/
Message d’alerte international de professionnels de la santé :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-politique-monde/message-dalerte-international-de-professionnels-de-sante-aux
Entretien avec le professeur Perronne :
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/le-defi-de-la-verite-pr-perronne-ses-premiers-mots-apres-linjustice-de-sa-mise
Quel origine pour Confirmation que le SRAS-COV-2? Zoonose? Laboratoire? est un virus artificiel fabriqué en laboratoire par Dr. Steven Quay, chercheur en médecine de réputation mondiale :
https://www.francesoir.fr/societe-sante/une-nouvelle-etude-du-dr-steven-quay-conclut-que-le-sras-cov-2-provient-dun
https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-question-de-lorigine-du-sars-cov-2-se-pose-serieusement
Interview du prix Nobel de médecine français Dr. Montagnier, qui déclare avoir prouvé que le virus du Covid 19 est un virus artificiel fabriqué en laboratoire :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-defi-de-la-verite-luc-montagnier-prix-nobel-de-medecine
Entretien avec le Pr. Fourtillan, éminent pharmacologue français :
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/le-defi-de-la-verite-jean-bernard-fourtillan
Déclaration de Great Barrington ou collectif de scientifiques du monde entier contre les mesures démentes du Covid 19 :
https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/
Collectif de 30 000 médecins
https://reinfocovid.fr/
https://www.mediterranee-infection.com/
Bulletins épidémiologiques hebdomadaires Réseau Sentinelles :
Réseau Sentinelles > France > Accueil (jussieu.fr)
https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/
La moisson des morts par Décoder l’éco : (17) 2020 : la moisson des morts - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=ufivMhlZ6Us
Conséquences psychiatriques des mesures sanitaires :
Loneliness during the first half-year of COVID-19 Lockdowns - PubMed (nih.gov)
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33171416/
Pandémie Covid-19 et prise en charge des cancers · Cancer Rose (cancer-rose.fr)
https://cancer-rose.fr/2020/11/11/pandemie-covid-19-et-prise-en-charge-des-cancers/
Le Covid, les enfants et leur contagiosité : (15) Covid-19, la contagiosité des enfants - Dr A. L'Huillier - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=hZJj6D6M2EY
Avis de l’Organisation Mondiale de la Santé concernant le masque chez les enfants : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-Children-2020.1-fre.pdf
https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/335945/WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-Children-2020.1-fre.pdf
(***) Rappel de quelques articles et documents juridiques :
Article 122-7 du code pénal qui interdit toute pénalité contre une personne en état de nécessité, de péril ou de contrainte morale irrésistible, qui l'aurait poussée à commettre des actes quelconques - donc mêmes illégaux - pour se sauvegarder, à condition qu'il y ait proportion entre ces actes et la gravité du danger :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006417220/
N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s'il y a disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace.
Un article universitaire sur la notion de désobéissance civile (acte théorisé en 1849 par l'américain Thoreau qui avait refusé de payer des impôts finançant la guerre États-Unis contre Mexique), théorie reprise par de très importants juristes français (dont l'École de Bordeaux de L. Duguit) et par le Conseil constitutionnel : https://books.openedition.org/septentrion/15827?lang=fr
Article 433-6 code pénal sur la rébellion (nous ne sommes pas dans ce cas) : https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006418557/
Constitue une rébellion le fait d'opposer une résistance violente à une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant, dans l'exercice de ses fonctions, pour l'exécution des lois, des ordres de l'autorité publique, des décisions ou mandats de justice.
DDHC du 26 août 1789, article 2 sur la résistance à l'oppression comme droit naturel et imprescriptible de l'homme :
https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Le Conseil constitutionnel donne pleine valeur constitutionnelle au droit de résistance à l'oppression dans son arrêt célèbre de 1971, décision n°81-132, "Loi de nationalisation" :
https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/1971/7144DC.htm
[...] les principes mêmes énoncés par la Déclaration des droits de l’homme ont pleine valeur constitutionnelle tant en ce qui concerne le caractère fondamental du droit de propriété dont la conservation constitue l’un des buts de la société politique et qui est mis au même rang que la liberté, la sûreté et la résistance à l’oppression, qu’en ce qui concerne les garanties données aux titulaires de ce droit et les prérogatives de la puissance publique […] ;