COORDINATION POUR UNE SANTÉ LIBRE
95 000 signatures du manifeste dont plus de 30 000 médecins.
Conférence de coordination des collectifs
de médecins indépendants
pour une autre gestion sanitaire.
Les collectifs de médecins favorables à une autre politique sanitaire s'organisent. Ils se regroupent en un comité santé/liberté pour défendre les patients et leurs médecins, ainsi que les libertés publiques, en particulier la liberté de prescrire et la liberté de choix du patient face à la politique vaccinale. Ils soulignent qu'il existe d'autres voies thérapeutiques très efficaces face à cette pandémie et que rien ne justifie les mesures sanitaires actuelles comme le couvre-feu, le port du masque dans la rue, la fermeture des restaurants, bars, salles de spectacles, etc.
Un comité scientifique indépendant sans conflits d'intérêt est créé pour guider une autre politique sanitaire et émettre des avis.
30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens au sein de la Coordination pour une santé libre de médecins et des collectifs médicaux soignants et scientifique.
Étaient présents :
Dr Violaine Guérin, endocrinologue, membre du collectif Laissons les médecins prescrire ;
Dr Érice Ménat, médecin généraliste, membre du collectif Laissons les médecins prescrire ;
Martine Wonner, Députée du Bas-Rhin, psychiatre ;
Alain Houpert, sénateur de la Côte-d’Or, radiologue ;
Dr Guillaume Gérard, immuno-rhumatologue ;
Claude Escarguel, microbiologiste ;
Claire Delval, médecin généraliste (Réinfocovid) .
https://reinfocovid.fr/
https://stopcovid19.today/
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SIGNEZ LE MANIFESTE
https://manifestes-libertes.org/
LE MANIFESTE “LA QUATRIÈME VOIE”
Lors de son allocution du 28 octobre, le Président de la République a expliqué que face à cette épidémie il y avait trois voies possibles :
• Ne confiner personne pour compter sur l’immunité collective, ce qui nous obligerait à accepter une mortalité plus importante.
• Confiner uniquement les plus fragiles puisque la Covid-19 tue surtout les personnes âgées (l’âge moyen de décès est de 84 ans).
• Confiner tout le monde, solution retenue par le gouvernement. Ce fut aussi la solution choisie lors de la grande peste au 18e siècle. Notre médecine n’a-t-elle fait aucun progrès depuis 3 siècles ?
Nous, médecins, avons été choqués de constater qu’à aucun moment, notre Président n’ait parlé de soins précoces par le médecin traitant. Et s’il existait un autre chemin ? Une autre solution aurait dû être mise sur la table ! Car en tant que soignants nous l’affirmons, il existe une QUATRIÈME VOIE !
Comme pour toutes les maladies infectieuses, il existe des solutions thérapeutiques qui pourraient tout changer sur le plan sanitaire, économique et social.
Face à cette Covid-19, nous devons tous devenir proactifs plutôt que de rester cloitrés chez nous avec la peur au ventre en espérant que le virus nous épargne ! Quelle est cette quatrième voie ?
LA PRÉVENTION AVANT TOUT !
Face à tout virus, il est essentiel d’augmenter ses défenses immunitaires. Pour cela, beaucoup de choses ont prouvé leur efficacité :
• Une meilleure hygiène de vie.
• Une activité physique régulière, si difficile en cas de confinement et pourtant essentielle.
• L’espoir, la pensée positive, la méditation plutôt que la peur qui fait chuter notre système immunitaire.
• Une supplémentation nutritionnelle. La vitamine D, la vitamine C, le zinc, les probiotiques et bien d’autres ont montré qu’ils amélioraient les défenses immunitaires et réduisaient le risque des maladies infectieuses, y compris liées au coronavirus.
D’autres approches complémentaires peuvent être envisagées par votre médecin en fonction de sa pratique, mais une chose est sûre : nous devons renforcer nos défenses plutôt que fuir devant l’ennemi. C’est la première chose à faire si on veut gagner la « guerre ».
LA DÉTECTION CIBLÉE
Nous demandons que les tests de dépistage soient prescrits par des médecins et qu’ils ne soient plus réalisés à tout le monde et à n’importe qui. La situation actuelle entraine en effet plusieurs écueils :
• Beaucoup de résultats sont des faux positifs à cause de la méthode retenue, en particulier en France. C’est-à-dire que les personnes testées sont faussement positives alors qu’elles ne sont ni malades ni contagieuses.
• Ces tests réalisés sans l’accompagnement d’un médecin sont inefficaces sur le plan épidémiologique et hyper stressants sur le plan psychologique, contribuant à la baisse de l’immunité.
• Ce choix de tests gratuits sans ordonnance coute une fortune d’environ 500 millions d’euros par mois aux frais du contribuable. Une partie de cet argent pourrait surement être mieux utilisée comme, par exemple, pour ouvrir de nouveaux lits de réanimation et embaucher du personnel soignant. Nous exigeons que cet argent qui provient de nos impôts soit mieux employé.
Un diagnostic médical repose autant sur la clinique que sur la biologie. C’est pourquoi les tests doivent être prescrits et interprétés par un médecin qui connait « son » patient.
UN TRAITEMENT PRÉCOCE
Face à n’importe quelle maladie, n’est-il pas de notre devoir de soigner les patients ? Et s’il n’existe pas de traitement qui fasse l’unanimité dans le monde médical, est-ce une raison pour ne rien faire ?
Depuis 1 an que ce virus est apparu, nous avons beaucoup appris sur lui et sur les complications. Nous savons qu’il évolue en deux phases, d’abord une phase infectieuse virale comme dans une grippe puis une phase inflammatoire où le virus n’est plus en cause directement.
C’est cette phase inflammatoire qui impose l’hospitalisation en réanimation. Une majorité de personnes fait preuve, heureusement, d’une immunité suffisante pour ne jamais en arriver là. Mais des personnes fragiles n’ont pas cette chance.
Malgré tous les combats d’égos télévisuels, nous sommes des milliers de médecins à avoir traité les patients qui en avaient besoin dans la première phase de la maladie pour leur éviter ces complications. Et nous le constatons tous les jours au quotidien : cela fonctionne.
Les scientifiques qui réfutent cela ne le font que sur la base d’études qui sont à ce jour insuffisantes. Insuffisantes pour prouver définitivement que les traitements marchent, mais également insuffisantes pour prouver que cela ne marche pas. Et souvent ils n’ont aucune expérience personnelle de ces traitements qu’ils rejettent d’un revers de main. Sinon ils ne seraient pas aussi péremptoires. Il existe pourtant plus d’une centaine d’études dans le monde qui montre l’efficacité du traitement précoce en diminuant les hospitalisations, les séquelles respiratoires, la mortalité.
Dans ces conditions, beaucoup de médecins dans le monde entier et en particulier en France ont décidé de soigner leurs patients malgré l’absence de consensus et la pression négative des institutions. Car c’est notre métier et nous n’accepterons jamais qu’on nous empêche de l’exercer. Nous sommes des gens responsables et il serait temps de nous faire confiance. Ce faisant, nous constatons dans nos cabinets que les malades sont soulagés bien plus vite, qu’ils s’aggravent moins et que nous hospitalisons beaucoup moins. Il serait temps qu’on prenne en compte cette expérience du terrain plutôt que se baser uniquement sur des études hospitalières puisque, justement, c’est en ville, avant l’arrivée à l’hôpital qu’il faut soigner.
De nombreuses publications nationales et internationales laissent penser que le traitement précoce pourrait reposer sur une ou plusieurs de ces approches thérapeutiques :
• Le zinc à forte dose (60 mg en moyenne).
• La vitamine C qui, à forte dose (plusieurs grammes par jour), a une action antivirale, augmente nos défenses et aide à être moins fatigué.
• La vitamine D si elle n’a pas été déjà prescrite en prévention (on a montré que les personnes qui font des formes graves ont souvent des taux sanguins de vitamine D très bas).
• L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours.
• L’hydroxychloroquine (vendue en France sous le nom de Plaquenil®) dont l’efficacité sur le virus est bien démontrée. Mais pour qu’elle soit utile, elle doit être absolument utilisée dans la première phase de la maladie.
Il existe même d’autres pistes complémentaires pour soulager et soigner les malades : d’autres antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline (un autre antibiotique), l’ivermectine (un antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants (il n’y a pas de recrudescence de l’épidémie en Asie et en Afrique), mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter contre les infections ou soulager les symptômes. Tous ces traitements doivent être prescrits par un médecin en fonction des spécificités de son patient, de ses symptômes et d’éventuelles précautions d’emploi.
En conclusion nous demandons que le médecin traitant soit remis au centre du processus de prise en charge des patients et soit la pierre angulaire des démarches sanitaires.
Nous demandons que de vrais protocoles de soins précoces soient mis en place, que ce soit pour la prévention de la population ou le traitement des malades comme n’importe quelle médecine moderne devrait le faire.
C’est certainement la meilleure solution pour pouvoir sortir du confinement plus rapidement. Si nous mettions cela en place sans attendre nous pourrions surement passer des fêtes de fin d’année dans la joie d’être ensemble, avec l’amour de nos proches et la sérénité sur le plan sanitaire. Et cela peut nous donner l’espoir qu’en 2021 cette épidémie se termine enfin.
Depuis 2 mois nous accumulons les décisions liberticides et pourtant le nombre de malades ne cesse d’augmenter. Nous avons, parait-il, dépassé les 40 000 décès, ce qui est 4 fois plus que nos voisins allemands. Il est temps de se rendre compte que la stratégie actuelle décidée par notre ministre de la santé nous amène dans le mur.
Si vous êtes d’accord avec ces propositions, si vous désirez nous suivre sur cet autre chemin, si vous pensez que cette QUATRIÈME VOIE est la plus sensée, rejoignez-nous ! Que vous soyez soignant ou usager de la santé, signez notre manifeste, adhérez à nos collectifs, exigez que des soins réels soient proposés à la population. C’est à cette condition que nous arriverons à soulager nos services de réanimation et que tous les malades seront pris en charge efficacement et sans distinction d’âge ou de région. Nous ne devons plus accepter que l’on conseille de sédater des personnes âgées avec du Rivotril parce que nous n’avons pas assez de lits de réanimation. C’est pour cela qu’il est encore plus indispensable et urgent de traiter tous les malades précocement, de choisir cette quatrième voie !
La France dispose d’un tissu médical étendu et diversifié. Nous sommes riches de cette diversité médicale. Les patients ont encore le libre choix de leur médecin et doivent donc obtenir les soins dont ils ont besoin et qui leur paraissent les plus adaptés à leur cas personnel.
Demandez conseil à votre médecin, à votre pharmacien et reprenez votre santé en main !
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Ont déjà signé le manifeste : 30 000 médecins, 30 000 soignants et 100 000 citoyens au sein de la Coordination pour une santé libre de médecins et des collectifs médicaux soignants et scientifique. (12 janvier 2021).
80 000 signatures du manifeste au 15 janvier 2021.
COVID-19 EN 10 POINTS INDISCUTABLES
1. RÉALITÉ DES DONNÉES ET DES CHIFFRES
Depuis le début de cette crise, on alimente la peur à partir de données discutables.
• Prévisions apocalyptiques de l'OMS & de Neil Ferguson de l'impérial College de Londres.
• Prévisions apocalyptiques de médecins français financés par l'industrie pharmaceutique.
• Illusion d'une deuxième vague en annonçant des chiffres biaisés : on parle de « cas » pour des personnes non malades, à partir de tests PCR aux cycles d'amplification excessifs et donc aux nombreux faux positifs.
• Mais pas de surmortalité sur les données lissées sur les années 2017/2018/2019.
• On omet de rappeler la moyenne d'âge des personnes développant une forme grave ou décédées.
• Les grippes ne sont plus comptabilisées depuis le 15/03/2020 ! Rappel de la définition d'épidémie pour la grippe : 150 cas par jour/100.000 habitants -> loin du compte pour le COVID.
2. GROUPES D'INFLUENCES ET CONFLITS D'INTÉRÊTS
Les décisions sont soufflées par des groupes d'experts, nommés par l'exécutif, dont l'indépendance est très discutable.
• Liens d'intérêt avec l'industrie et les structures de financement.
• Non-respect des règles décisionnelles habituelles au sein des différentes instances.
3. UN PARCOURS DE SANTÉ MIS EN PÉRIL
On sacrifie la démocratie sur l'autel du principe de précaution. La pyramide des normes n'est plus respectée.
• Loi d'état d'urgence toujours en vigueur dans les faits.
• Modification du parcours de soins habituel des patients, occultant le médecin traitant.
• Liberté de prescrire (code de santé publique) supprimée, une première dans l'histoire.
• Atteinte à la liberté de se faire soigner selon ses choix.
• Liberté de réunion et de circulation restreintes.
• Décisions européennes contestables sur les traitements et les vaccins.
4. BUREAUCRATIE ET DÉSHUMANISATION
Bureaucratisation, déshumanisation, traitement technocratique de la santé de la population (prolifération de vocabulaire technique, novlangue : clusters, distanciation sociale...).
• On ne fait plus de médecine, mais de l'analyse de données, du big data Au coeur de la crise on trie les malades par téléphone.
• On n'examine pas les malades ce qui rend impossible l'évaluation des signes de gravité ; des personnes meurent à domicile sans assistance et d'autres finissent en réanimation.
• Aujourd'hui on s'appuie sur des tests incertains pour gérer des « cas », appliquer des protocoles sanitaires et terroriser la population.
• On déclare malades des personnes asymptomatiques.
• On dépense sans compter de façon insensée avec les tests, alors qu'on n'a pas fourni de matériel en phase aigue On instaure une médecine d'État.
• Médecins de ville et cliniques privées ont été exclus du combat, alors que les médecins connaissent leurs patients, ont prêté serment et savent décider du meilleur traitement pour leurs patients en leur âme et conscience.
5. DE LA BALANCE BÉNÉFICES/RISQUES
On nous embrouille sur la balance bénéfices/risques.
On nous raconte qu'on a sauvé des milliers de gens. Sur quelle base s'appuie-t-on pour dire cela ? Et si c'était le contraire ?
• Confer les études sur l'inefficacité des mesures de confinement
• Confer la situation dans les EHPAD
• Confer les données des pays non confinés - attention regarder les données à la source et non celles délivrées par certains médias financés
Au nom du principe de précaution, pour protéger "les plus fragiles", on sacrifie notre avenir (toute une génération et une économie)
• Chômage de masse (> 800.000 chômeurs supplémentaires annoncés)
• Faillites : des pans entiers de notre économie
• Traumatismes psychologiques, suicides, violences intra-familiales, patients souffrant d'autres pathologies non traitées
• Déscolarisation massive, perte de motivation des élèves et des étudiants
• Culture en grave danger (tourisme, art vivant, cinéma)
6. TOUS COUPABLES
• On infantilise la population et on la culpabilise.
• Prévention basée sur contrainte, répression et menace.
• Citoyens tenus pour des délinquants imbéciles ne pouvant comprendre des mesures sanitaires logiques, non contradictoires et clairement expliquées.
7. DES PRISES DE POSITIONS GOUVERNEMENTALES INCOMPRÉHENSIBLES
On déplore le manque d'objectivité du gouvernement par rapport aux études scientifiques et traitements disponibles.
• On interdit d'emblée Thydroxychloroquine (HCQ), pourtant préconisée par le passé par TOMS et favorablement utilisée à l'IHU de Marseille et dans de nombreux pays qui ont géré correctement cette épidémie.
• L'État en vient même à préempter l'azithromycine et certaines médicaments, rendus inaccessibles en médecine de ville en pleine phase épidémique, empêchant les médecins généralistes de soigner avec leur arsenal thérapeutique.
• Le ministre de la Santé s'appuie sur l'étude foireuse du Lancet pour donner le coup de grâce à Thydroxychloroquine.
• Le ministre fait fi de toutes les études publiées concluant à l'efficacité de l'HCQ en prévention et en phase précoce.
• Dans la foulée, le gouvernement préconise le remdesivir aux effets secondaires graves et à une efficacité douteuse.
• L'essai Discovery tant annoncé est un immense fiasco, tout comme Recovery et les autres études françaises financées par le contribuable.
8. DU CHAOS DES TESTS
• On choisit de tester tout le monde sans ordonnance, créant confusion, dépenses inutiles et embolisation des laboratoires rendus inaccessibles aux vrais patients.
• On valide des PCR avec des cycles d'amplification excessifs favorisant les faux positifs.
• On "confond" « cas positifs » et « malades » et utilise ce paramètre pour terroriser.
• On rend des résultats dans des délais excessifs empêchant le traitement précoce des malades.
• On omet de dire que si Ton avait testé en mars il y aurait eu entre 200.000 et 400.000 tests positifs par jour.
9. AUX SOURCES DES DIFFICULTÉS D’AUJOURD’HUI
Risque de saturation des hôpitaux et des choix budgétaires qui interrogent.
• Ce n'est pas COVID-19 qui sature les hôpitaux.
• Les soignants étaient dans la rue depuis des années et encore l'hiver dernier et réclamaient des moyens pour pouvoir travailler correctement.
• Manque de lits et de matériel ont été le nerf de la guerre. Qu'a fait le gouvernement depuis ?
• La Direction Générale de la Santé a annoncé la suppression de la dotation de matériel aux médecins libéraux !
• La médecine hospitalière n'a pas été réapprovisionnée.
• Et si les milliards d’€ consacrés aux tests ou à acheter des LBD servaient à mieux doter les hôpitaux en matériel et à rémunérer dignement le personnel ?
10. QUID DE LA PRÉVENTION ?
Rien de pertinent, on continue de terroriser et d'appliquer des mesures liberticides sans aucune base scientifique, alors qu'il serait « simple » de :
• Favoriser le bon équilibre du système immunitaire avec une bonne hygiène de vie et un bon équilibre en vitamine D.
• Arrêter de rendre le sport inaccessible !
• Mettre en place une chimioprophylaxie pour les soignants exposés.
Le collectif de médecins #COVID19-LoissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé en mors 20201a liberté d'autoprescription de l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français volontaires infectés par le COVID- 19, veille à ce que la médecine ne soit pas utilisée aujourd'hui comme alibi pour maltraiter les populations.
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Étude clinique et thérapeutique du collectif « COVID-19 Laissons les médecins prescrire »
Rapport en français :
http://sycomoreen.free.fr/docs_multimedia/COVID_19_RAPPORT_ETUDE_RETROSPECTIVE_CLINIQUE_ET_THERAPEUTIQUE_200430.pdf
Publication internationale :
https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224
https://stopcovidl9.today/
tweeter : @laissonslesprel
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COVID-19
UNE PATHOLOGIE QUI SE SOIGNE
■ Liberté des patients de consulter le médecin de leur choix et de se faire soigner comme ils le souhaitent
■ Un dialogue médecin/patient de qualité et en confiance au cœur d'une médecine éthique
■ Importance de l'examen clinique des patients pour recueillir anamnèse, signes fonctionnels et signes cliniques; la télémédecine n'est pas de la médecine (la télémédecine qui n'a pas permis l'indispensable auscultation pulmonaire a été la cause de nombre de complications non dépistées, de passages en réanimation et de décès)
■ Des tests diagnostiques prescrits par les médecins ayant examiné des patients symptomatiques ou contacts de personnes malades
■ Des tests PCR avec 30 cycles d'amplification ou moins selon la technique, avec précisions figurant sur la feuille de résultats, et tests disponibles sous 24h
■ Liberté de prescrire des médecins
■ Patients : consentement éclairé au soin
■ Traitement en phase précoce pour prévenir au mieux complications et passages en réanimation, en particulier les patients à risque (comorbidités, personnes âgées)
■ Des propositions thérapeutiques ont fait l'objet de publications internationales et sont accessibles, dont l'azithromycine seule ou associée à l'hydroxychloroquine en phase précoce
■ Ces traitements n'ont pas entraîné de problème quand leurs recommandations d'usage ont été respectées
SANTÉ PUBLIQUE
■ Informer avec des données fiables et des indicateurs pertinents (les seuls décès).
■ Communication non anxiogène, éthique et responsable par des médecins sans conflits d'intérêts.
■ Un système de soins équilibré avec synergie entre secteur public, secteur privé et monde libéral.
■ Mineurs et jeunes majeurs non stigmatisés ou culpabilisés ; on doit prendre soin de leur développement psychique indispensable à leur construction personnelle.
■ Carences en vitamine D et stress altèrent nos systèmes immunitaires, on les évite.
CHARTE
VALEURS
■ Respect des droits humains
■ Santé équitable et éthique
■ Science en conscience
■ Élégance dans l'adversité
PROBLÈMES
■ Mauvaise définition du risque et de l'évaluation
■ Réponse disproportionnée et inadaptée
■ Générant restriction de liberté individuelle et collective
SOLUTIONS
■ Définir ce qu'est une expertise indépendante
■ Colliger, partager et évaluer les informations
■ En situation de crise d'un nouveau genre, s'appuyer sur l'expérience en cas d'urgence
■ Évaluation des experts par les pairs ET par des tiers
■ Assurer transparence et intégrité par une tolérance zéro des conflits d'intérêt
■ Débattre pour construire la confiance
■ La santé publique au seul service des citoyens
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