VACCIN SANS AUCUN INTÉRÊT

Publié le par Résistance verte

 

Aucun intérêt” à “un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05%” affirme le Professeur Perronne.

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens.
Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques .

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées.
Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible. Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN.

Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE, le 12/12/20
Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches (92)

 

Pr Perronne reçoit le soutien du Syndicat National des Médecins Hospitaliers FO

Dans un communiqué ce 11 décembre 2020, le Syndicat National des Médecins Hospitaliers FO apporte son soutien au Pr Perronne et donne le sentiment d’avoir plus de bon sens que certains mandarins de l’AP-HP (Assistance Publique Hôpitaux de Paris) sans oublier son Directeur Général Martin Hirsch.

Le communiqué commence par :

« L’exercice de la médecine à l’hôpital comme en ville nécessite le respect de règles inscrites dans le code de déontologie médicale et le statut de praticien hospitalier qui protègent notre indépendance professionnelle et autorisent les médecins à débattre entre eux. La place publique n’est pas le bon endroit pour ce débat et détourne de leur rôle les instances médicales. L’instrumentalisation de ces instances à des fins politiques est encore plus condamnable. »

Puis il continue par déplorer la campagne contre le Pr. Perronne

« La campagne dirigée contre notre collègue le Professeur Perronne constitue de ce point de vue une menace pour tous les médecins. La motion de la CME de l’AP-HP condamnant le Pr Perronne s’inscrit malheureusement dans cette campagne. Nous le déplorons. »
Le SNMH FO n’a pas vocation à se prononcer sur les débats scientifiques légitimes concernant les stratégies thérapeutiques. Le syndicat regroupe des médecins hospitaliers de toutes opinions sur la seule base de la défense de leurs intérêts matériels et moraux. C’est pourquoi il ne peut pas accepter qu’un collègue PU-PH ou PH soit attaqué parce que, publiquement, il n’adhère pas à la ligne officielle, au consensus.

Et il s’interroge sur le bien-fondé de la demande de Martin Hirsch :

« Y aurait-il bientôt une médecine d’état, une vérité d’état ? La présidence de la CME de l’AP-HP est-elle fondée avec sa demande en direction de Martin Hirsch (directeur de l’AP-HP) de saisine du conseil de l’ordre des Hauts de Seine à l’encontre du Professeur Perronne ? »

Où est la confraternité ? Gare à celui qui n’adhère pas à la vérité officielle ?

Les attaques, menaces, cabales, contre Christian Perronne doivent s’arrêter. La procédure de retrait d’agrément pour l’enseignement en maladie infectieuses et tropicales doit cesser. La motion de la CME doit être abandonnée.
Le SNMH FO défendra tous les médecins dont l’indépendance professionnelle est attaquée et ceux qui, PH ou PU-PH et MCU-PH, sont attaqués dans leurs statuts de médecins hospitaliers ou d’universitaires-fonctionnaires d’Etat avec leurs devoirs et droits.

Pour finir le SNMH FO envisage une démarche commune :

« Le SNMH FO s’adresse à l’ensemble des organisations syndicales de médecins hospitaliers pour envisager une démarche commune contre cette chasse aux sorcières. »

Le communiqué est signé du Dr Cyrille Venet Secrétaire général SNMH FO
Publié le 12/12/2020

Publié dans Coronavirus

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D
Concernant le Pr PERRONNE , je le remercie pour son integrite ,son honnetete,et son courage ...et , personnellement je condamne toute instance qui s oppose ou qui accuse ce Professeur ainsi que ses collegues solidaires et tous ses soutiens ...quels soient ils ...!!!
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