LA PANDÉMIE EST TERMINÉE
300 SCIENTIFIQUES DÉNONCENT
DES MESURES GOUVERNEMENTALES
"DISPROPORTIONNÉES"
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Dans une tribune publiée lundi sur le site de Médiapart, près de 300 scientifiques, médecins et universitaires critiquent les dernières restrictions décidées par le gouvernement contre le Covid et leurs effets "secondaires" dramatiques. Ils appellent à changer en urgence de stratégie sanitaire.
Le 10 septembre, ils étaient 35 à signer une première tribune "Nous ne voulons pas être gouvernés par la peur". Le docteur Fouché était déjà de ceux-là.
17 jours plus tard, ils sont près de 300 à clamer : " Il est urgent de changer de stratégie sanitaire face au Covid-19."
Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur à l’Hôpital de la Conception à Marseille (AP-HM) est à nouveau en tête des signataires de cette tribune publiée par Médiapart.
Des experts très médiatiques comme le Pr Jean-François Toussaint, le Pr Chritian Perronne ou l’épidémiologiste Laurent Toubiana côtoient des anonymes professionnels de santé, chercheurs mais aussi universitaires.
Une quinzaine de personnalités de la région PACA co-signent ce texte comme le sociologue Raphaël Liogier, professeur à l’Institut de Sciences Politiques d’Aix-en-Provence.
Porte-parole du collectif "Soignants pour une politique sanitaire juste et proportionnée" qui regroupe 400 médecins, chercheurs et soignants et citoyens, le Dr Fouché dénonce des "mesures disproportionnées".
"On maintient la peur et c’est surtout ça qui nous gêne." Dr Laurent Fouché anesthésiste-réanimateur
Le 23 septembre dernier, le ministre de la Santé a annoncé la fermeture des bars, restaurants et salles de sport dans la métropole d'Aix-Marseille en se basant sur les données de circulation du virus. Pour le docteur Fouché, le Covid masque les "défaillances du système hospitalier".
"Oui, il y a une tension hospitalière sur le nombre de soignants, de lits, etc. explique-t-il, mais cette situation n’est pas nouvelle, c’est lié à un sous-investissement dans l’hôpital public depuis une quinzaine d’années pour favoriser le secteur privé".
"Est-ce que l’hôpital est en tension à cause du Covid ? Je dis non, ajoute-il. La réalité, c’est qu’il y a eu un mort du Covid à Marseille ce week-end (NDLR 27 sur toute la France), alors qu’il y a en moyenne 1700 morts par jour en France, 450 morts de maladies cardio-vasculaires, 430 de cancers, 110 de maladies respiratoires, 27 suicides, 11 accidents de la route. C’est très disproportionné".
STATISTIQUES CONTRE STATISTIQUES
Le médecin réanimateur estime qu'"on fait peser sur l’institution hospitalière l’ensemble de ces malades, or un certain nombre de ces malades ne sont pas là forcément pour le Covid".
"Les six derniers malades de la réanimation chez moi, trois avaient un Covid positif, et étaient comptés dans les statistiques Covid positifs. Mais en fait, ils étaient malades d’autre chose, un choc septique sur une pneumonie à bacille pyocyanique, un œdème aigü du poumon, un lymphome en cours d’induction de chimiothérapie…" explique-t-il.
"On fait dire aux chiffres des choses qui ne sont pas vrais, affirme-t-il. On fait dire à ces gens positifs qu’ils sont tous malades de la maladie Covid qu’on a vue au mois de mars, ce n’est pas vrai. Et je ne peux pas croire qu’on soit la seule réa dans ce cas-là. Ça veut dire qu’il y a environ 30% au moins des patients qui ne sont pas malades de la Covid."
"Quand Olivier Véran vient à Marseille, pourquoi vient-il ? En gros, il vient donner de l’argent si on continue la narration de la peur et il vient faire un espèce de chantage consistant à dire "je ne nourris l’hôpital public que si vous continuez à faire ce que je vous dis sans discuter". Et les gens s’alignent pour maintenir l’institution et continuer de soigner les gens".
Laurent Fouché ne nie pas la recrudescence du nombre de cas positifs. Mais, dit-il, c'est parce qu'' on voit ce qu’on s’est interdit de voir en mars par une politique de tests qui n’étaient pas adaptée à l’époque."
LA MENACE D'UN RECONFINEMENT
Pour le praticien, il faut arrêter l'organisation de ces dépistages massifs, et se limiter aux tests sur prescription "quand on a un doute, après avoir vu un médecin".
La menace d’un reconfinement brandie par le ministre de santé est selon lui une façon de "reprendre le contrôle sur les gens par la menace". "Ça jugule toute contestation, c’est tyrannique, anti-démocratique et ça n’est pas proportionné aux risques de cette épidémie de Covid", assène-t-il.
Selon le docteur Fouché, les restrictions prises rendraient le remède pire que la maladie.
"La volonté de la cantonner actuellement, c’est de ne pas mettre en tension le système hospitalier. Et on fait peser sur la population générale des mesures extrêmement liberticides et qui divisent et qui ont plein de dommages collatéraux alors que c’est la politique de gestion du système de santé qui est défaillante."
DES EFFETS COLLATÉRAUX DÉVASTEURS
"On est en train de casser le lien social, de le disloquer en prenant la proie pour l’ombre" s'inquiète le médecin marseillais.
"Il faut protéger les plus fragiles et ce n’est pas par la politique sanitaire actuelle qu’on les protège, au contraire. Il faudrait d’arrêter les masques dans les écoles, d’arrêter les masques à l’extérieur, d’arrêter les tests en population générale parce que tout cela procède d’une imposture et tout le monde le sait".
L’urgence, affirme-t-il, "c’est de protéger les plus fragiles, ça veut dire donner aux gens qui ont peur, aux gens qui ont une immuno-dépression sévère , ceux qui sont hypertendus, obèses, diabétiques, ou avec des comorbidités sévères, c’est ceux-là qui font les formes graves et on les connaît. Il faut leur donner des FFP2 et qu’ils les portent et pas faussement les rassurer avec un masque chirurgical qui ne les protège pas. Et laisser le reste de l’épidémie circuler pour que l’immunité collective se fasse."
Laure Farnault, hématologue-immunologue à Marseille, partage cette analyse. Elle aussi a signé la tribune. Elle tient à préciser qu'elle exprime de son point de vue et non au nom de l'institution.
Dans son service, elle a vu les conséquences des choix faits ces derniers mois.
"En post-confinement dans mon service d’hématologie, j’ai vu arriver des patients avec des diagnostics qu’on a jamais vus, ils sont tous bien restés confinés chez eux pendant trois mois et ils pensaient que dans le monde il n’y avait que le Covid."
"Ces personnes ont vraiment perdu des chances de survie avec le confinement, on l’a vraiment vu beaucoup."
Laure Farnault met aussi en garde contre les stastitiques officielles qui ne reflèteraient pas la réalité des malades Covid et des décès.
"J’ai amené un jeune de 23 ans en réa en choc septique, il a eu une PCR Covid qui fait partie des 20 % de faux-positifs. Il serait mort, on aurait dit "il est mort du Covid", mais il avait une leucémie, un choc septique, du pyocyanique".
"Mais du point de vue de l’ARS, elle pouvait dire qu’il y avait un jeune en réanimation qui avait le Covid… il y a toute mascarade."
"Je ne dis pas qu’il n’y a pas un problème sanitaire, souligne-t-elle, il y a bien un problème sanitaire, mais pour moi c’est aux médecins et groupements hospitaliers de le gérer, ce n’est pas aux artistes, aux restaurateurs, aux jeunes qui sortent, aux collégiens ou aux lycéens…"
Le directeur scientifique de Pfizer, trust pharmaceutique américain, déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests COVID faussement positifs.
Dans un développement étonnant il déclare qu’ »il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de la « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « seconde vague » basée sur de « nouveaux cas ».
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.
Dans une interview accordée la semaine dernière, le Dr Yeadon a été interrogé : « Nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »
Le Dr. Yeadon a déclaré dans l’interview que, étant donné la « forme » de tous les indicateurs importants dans une pandémie mondiale, tels que les hospitalisations, l’utilisation des soins intensifs et les décès, « la pandémie est fondamentalement terminée ».
Le Dr Yeadon a déclaré dans l’interview : « Sans les données de test que vous obtenez tout le temps à la télévision, vous concluriez à juste titre que la pandémie est terminée, car il ne s’est rien passé de bien important. Bien sûr, les gens se rendent à l’hôpital, à l’approche de la saison automnale de la grippe… mais aucune donnée scientifique ne permet d’affirmer qu’une deuxième vague devrait se produire ».
Dans un article publié ce mois-ci, co-signé par M. Yeadon et deux de ses collègues, les scientifiques écrivent : « Quelle est la probabilité d’une deuxième vague ? Il a été largement observé que dans tous les pays fortement infectés en Europe et dans plusieurs États américains, la forme des courbes de mortalité quotidienne en fonction du temps est similaire à celle du Royaume-Uni ».
Les données relatives au Royaume-Uni, à la Suède, aux États-Unis et au monde entier montrent que dans tous les cas, les décès ont augmenté de mars à la mi- ou à la fin avril, puis ont commencé à diminuer progressivement selon une pente douce qui s’est aplatie vers la fin juin et qui se poursuit encore aujourd’hui. Cependant, les taux de cas, basés sur des tests, augmentent et oscillent de façon sauvage vers le haut et vers le bas.
Le taux de survie au COVID est maintenant estimé à 99,8%, comme pour la grippe, avec une immunité antérieure aux lymphocytes T.
Le taux de survie de COVID-19 a été amélioré depuis le mois de mai pour atteindre 99,8 % des infections. Ce taux se rapproche de celui de la grippe ordinaire, dont le taux de survie est de 99,9 %. Bien que le COVID puisse avoir des séquelles graves, la grippe ou toute maladie respiratoire peut également en avoir. Le taux de survie actuel est bien plus élevé que les premières estimations sombres de mars et avril, citées par le Dr Anthony Fauci, de 94 %, soit 20 à 30 fois plus meurtrier. La valeur du taux de mortalité par infection (IFR) acceptée par Yeadon et al dans le document est de 0,26%. Le taux de survie d’une maladie est de 100% moins l’IFR.
Le Dr Yeadon a souligné que la « nouvelle » contagion COVID-19 n’est nouvelle que dans le sens où il s’agit d’un nouveau type de coronavirus. Mais, a-t-il dit, il existe actuellement quatre souches qui circulent librement dans la population, le plus souvent liées au rhume.
Dans l’article scientifique, Yeadon et deux de ses collègues écrivent :
« Il y a au moins quatre membres de la famille bien caractérisés (229E, NL63, OC43 et HKU1) qui sont endémiques et provoquent certains des rhumes courants que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similitude de séquence frappante avec le nouveau coronavirus ».
Les scientifiques affirment qu’une grande partie de la population possède déjà, sinon des anticorps contre le COVID, du moins un certain niveau d’immunité des « cellules T » contre l’exposition à d’autres coronavirus apparentés, qui circulaient bien avant le COVID-19.
« Une composante majeure de notre système immunitaire est le groupe de globules blancs appelés cellules T, dont le travail consiste à mémoriser un petit morceau du virus avec lequel nous avons été infectés, afin que les bons types de cellules puissent se multiplier rapidement et nous protéger si nous contractons une infection connexe. Des réponses au COVID-19 ont été démontrées dans des dizaines d’échantillons de sang prélevés sur des donneurs avant l’arrivée du nouveau virus ».
En introduisant l’idée qu’une certaine immunité préalable à COVID-19 existait déjà, les auteurs de « How Likely is a Second Wave ? » écrivent :
« Il est maintenant établi qu’au moins 30% de notre population avait déjà une reconnaissance immunologique de ce nouveau virus, avant même son arrivée…COVID-19 est nouveau, mais les coronavirus ne le sont pas. »
Ils poursuivent en disant qu’en raison de cette résistance préalable, seuls 15 à 25 % d’une population infectée peuvent suffire pour atteindre l’immunité de troupeau :
« …les études épidémiologiques montrent que, avec l’ampleur de l’immunité préalable que l’on peut maintenant raisonnablement supposer, seuls 15-25% de la population infectée sont suffisants pour stopper la propagation du virus… »
Aux États-Unis, si l’on accepte un bilan de 200 000 morts et un taux de mortalité lié à l’infection de 99,8 %, cela signifie que pour chaque personne décédée, il y aurait environ 400 personnes infectées qui auraient survécu. Cela signifierait environ 80 millions d’Américains, soit 27% de la population. Cela touche le seuil d’immunité collective de Yeadon et de ses collègues.
« La littérature actuelle montre qu’entre 20 et 50 % de la population présente cette réactivité des cellules T pré-pandémique, ce qui signifie que nous pourrions adopter une valeur de population initialement sensible de 80 à 50 %. Plus la susceptibilité initiale réelle est faible, plus nous sommes sûrs d’avoir atteint un seuil d’immunité collective (TIH) ».
LA DEUXIÈME VAGUE DE FAUX POSITIFS
Les auteurs écrivent que le test PCR, le test COVID le plus répandu dans le monde, est utilisé : « plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être faux, potentiellement tous ».
Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est « simplement la présence de séquences d’ARN partielles présentes dans le virus intact », qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade, et ne peut pas être transmis, et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade.
« …un vrai positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable. Dans les études limitées réalisées à ce jour, de nombreux chercheurs ont montré que certains sujets restent positifs par PCR longtemps après que la capacité de cultiver le virus à partir de prélèvements a disparu. Nous appelons cela un « positif à froid » (pour le distinguer d’un « positif à chaud », une personne réellement infectée par un virus intact). Le point essentiel des « positifs au froid » est qu’ils ne sont pas malades, ne présentent pas de symptômes, ne vont pas en présenter et, de plus, sont incapables d’infecter d’autres personnes ».
Dans l’ensemble, le Dr Yeadon avance l’argument selon lequel toute « deuxième vague » de COVID, et tout cas de verrouillage par les gouvernements, compte tenu des principes bien connus de l’épidémiologie, sera entièrement fabriqué. Ce mois-ci, à Boston, un laboratoire a suspendu les tests de dépistage des coronavirus après la découverte de 400 faux positifs.
Une analyse du test basé sur la PCR sur le site médical medrxiv.org indique : « les données sur les tests basés sur la PCR pour des virus similaires montrent que les tests basés sur la PCR produisent suffisamment de résultats faux positifs pour rendre les résultats positifs très peu fiables dans un large éventail de scénarios du monde réel ».
Le cas le plus célèbre de manque de fiabilité des tests PCR a bien sûr été celui du président tanzanien qui a révélé au monde entier qu’il avait secrètement envoyé des échantillons d’une chèvre, d’un mouton et d’un fruit de papaye à un laboratoire de test COVID. Ils sont tous revenus positifs pour le COVID.
LES DEUXIÈMES VAGUES DE CORONAVIRUS NE SONT PAS NORMALES
Le Dr Yeadon a contesté l’idée que toutes les pandémies se déroulent en vagues successives, citant deux autres épidémies de coronavirus, le virus du SRAS en 2003 et le MERS en 2012. Ce qui peut sembler être deux vagues peut en fait être deux vagues uniques se produisant dans des régions géographiques différentes. Ils affirment que les données recueillies lors des épidémies relativement récentes du SRAS en 2003 et du MERS confirment leur thèse.
Un autre argument avancé par Yeadon et al dans leur article de septembre est qu’il n’y a pas eu de différence dans les résultats liés aux blocages. « La forme de la courbe des décès en fonction du temps implique un processus naturel et non un processus résultant principalement d’interventions humaines… La Suède est connue pour avoir adopté une approche presque de laissez-faire, avec des conseils qualifiés donnés, mais pas d’enfermement généralisé. Pourtant, son profil et celui du Royaume-Uni sont très similaires ».
Yeadon aux manières douces démolit l’homme qui a tout commencé, Professeur Neil Ferguson. L’ancien dirigeant et scientifique de Pfizer pointe du doigt un ancien collègue qui a été réprimandé pour son rôle dans la pandémie, le professeur Neil Ferguson. Ferguson a enseigné à l’Imperial College alors que Yeadon y était affilié. Le modèle informatique de Ferguson a fourni aux gouvernements la justification nécessaire pour lancer des ordres draconiens qui ont transformé du jour au lendemain des sociétés libres en prisons virtuelles. Sur ce qui est maintenant estimé par le CDC comme un virus avec un taux de survie de 99,8%.
Le Dr. Yeardon a déclaré dans l’interview qu’ »aucun scientifique sérieux ne donne de validité » au modèle de Ferguson. Parlant avec un mépris à peine voilé pour Ferguson, le Dr. Yeardon a pris un malin plaisir à le souligner à son interlocuteur : « Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson était même légèrement juste… mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle. »
Yeardon se joint à d’autres scientifiques pour fustiger les gouvernements qui suivent le modèle de Ferguson, dont les hypothèses sont à la base de tous les blocages mondiaux. L’un de ces scientifiques est le Dr Johan Giesecke, ancien chef scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, qui a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » de mémoire, et aussi « l’un des plus erronés ».
C’est le modèle de Ferguson qui a soutenu que des mesures d’ »atténuation » étaient nécessaires, c’est-à-dire la distanciation sociale et la fermeture d’entreprises, afin d’éviter, par exemple, que plus de 2,2 millions de personnes meurent de la maladie de Crohn aux États-Unis.
Ferguson a prédit que la Suède paierait un prix terrible pour l’absence de fermeture, avec 40 000 décès dus à COVID d’ici le 1er mai, et 100 000 d’ici le mois de juin. Le nombre de décès en Suède est maintenant de 5800. Le gouvernement suédois affirme que cela coïncide avec une saison de grippe légère. Bien qu’initialement plus élevé, le taux de mortalité par habitant en Suède est maintenant inférieur à celui des États-Unis, ce qui a été réalisé sans les terribles dommages économiques qui continuent à se produire aux États-Unis. La Suède n’a jamais fermé de restaurants, de bars, d’établissements sportifs, de la plupart des écoles ou de salles de cinéma. Le gouvernement n’a jamais ordonné aux gens de porter des masques.
Le Dr Yeadon parle avec amertume des vies perdues à cause des politiques de verrouillage, et des innombrables vies « savoureuses » qui seront encore perdues, à cause d’importantes opérations chirurgicales et d’autres soins de santé différés, si le verrouillage est réimposé.
Yeardon est un entrepreneur prospère, fondateur d’une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis, un autre géant pharmaceutique. L’unité de Yeadon chez Pfizer était l’Unité de recherche sur l’asthme et les maladies respiratoires. (Yeadon, partial list of publications : https://www.researchgate.net/scientific-contributions/58110597-Mike-Yeadon)
La liste des nouvelles s’allonge, ce qui reflète défavorablement le récit qui se joue sur les grandes chaînes de télévision, d’un mystérieux « nouveau » virus qui n’a été contrôlé que par une attaque sans précédent contre les droits et libertés individuels, maintenant prêt à bondir à nouveau, sur des populations déjà en souffrance qui n’ont d’autre choix que de se soumettre à de nouvelles injonctions gouvernementales.
En Allemagne, une organisation de 500 médecins et scientifiques allemands s’est formée, qui affirment que la réponse du gouvernement au virus COVID a été largement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la maladie.
Les preuves de la tromperie s’accumulent. Le CDC et le groupe de travail américain sur les coronavirus, dirigé par le Dr Deborah Birx, affirment tous deux que la définition du décès par COVID a été souple et que les règles favorisent l’appellation COVID chaque fois que cela est possible. Cela ouvre la possibilité d’un nombre de décès largement gonflé.
Une autre théorie est que la crise du COVID est utilisée pour consolider des niveaux de contrôle des élites sur les individus et la société jamais imaginés auparavant. Cette théorie est avancée par le neveu du président assassiné, Robert F. Kennedy Jr, fils de Bobby Kennedy également assassiné. Dans un discours prononcé lors d’une manifestation massive contre le blocage et la vaccination obligatoire en Allemagne, Bobby Jr. a mis en garde contre l’existence d’un : « le programme de biosécurité, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État contre la démocratie libérale parrainé par les Big Pharma… La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques, »
Les mises en garde contre les mauvaises intentions de l’ « élite » de Kennedy proviennent de sources plus générales. Le Dr Joseph Marcela, du site d’information médicale Mercola.com, qui jouit d’une grande confiance et d’un trafic considérable, a rédigé une étude approfondie des affirmations d’un médecin concernant les vaccins génétiquement modifiés qui se profilent à l’horizon.
En 1957, une pandémie a frappé, la grippe asiatique H2N2 avec un taux de mortalité de 0,7%, qui a tué autant de personnes par habitant aux États-Unis que le COVID le prétend aujourd’hui. Il n’en a jamais été fait mention dans les médias à l’époque, sans parler du bouleversement extraordinaire que nous connaissons aujourd’hui. En 1968, la grippe de Hong Kong a frappé les États-Unis (.5% IFR,), emportant 100 000 personnes alors que la population américaine était nettement plus faible. Pas une seule alerte n’a été donnée, pas un seul magasin n’a été fermé, ni même un reportage du réseau d’information. L’été suivant, le plus grand rassemblement de l’histoire des États-Unis a eu lieu à Woodstock.
L’hystérie de masse n’est jamais accidentelle, mais elle profite à quelques uns.
PAS DE SECONDE VAGUE