NUCLÉAIRE, LA FIN D’UN MYTHE

Publié le par Résistance verte

ATOMIK TOUR
Mercredi 15 Mai 2019 à 20 h 00 Au Dix-Sept
17 rue de la Mulatière à St-Etienne

Une caravane, une cinquantaine d’étapes de 2 ou 3 jours : 8 mois. Pour questionner notre rapport au nucléaire, mieux cerner les enjeux localement et susciter des actions.

L’Atomik Tour, c’est un voyage à travers la France, plus de 50 étapes pour se rencontrer, s’interroger sur la France nucléaire (et son monde), et sortir du cadre imposé par le (faux) débat public uniquement au sujet de ses déchets.
https://atomik-tour.org/etape/etape-30-lyon/

La caravane poursuit son périple à St-Étienne ce mercredi 15 mai pour une projection-discussion autour de la thématique nucléaire au Dix Sept.

 

 

Au programme :

• Un film court présentant la lutte en cours contre l’enfouissement des déchets nucléaires (35 minutes)

• Suivi d’un autre documentaire "Nucléaire, la fin d’un mythe" qui nous rappelle comment la France, par choix politique, s’est rendue totalement dépendante du nucléaire jusqu’à se mettre dans une dangereuse impasse… (54 minutes)

• Les projections seront suivies ou intercalées d’un temps d’échange avec l’équipe de l’Atomik Tour pendant lesquels la participation est ouverte à tou·tes.

On a parfois tendance à l’oublier mais St-Étienne est la grande ville française la plus proche d’une centrale nucléaire, Saint-Alban-les-eaux se situe à moins de 25km des limites de la ville. Le plan d’intervention PPI est depuis peu limité à 20 kilomètres autour des installations nucléaires, c’est dans ce périmètre que l’on fournit aux riverains notamment des pastilles d’iode nécessaires pour saturer la thyroïde en cas d’accident nucléaire. Alors que le Gier vient tout juste d'entrer dans ce périmètre (St-Chamond et Rive-de-Gier notamment) la métropole stéphanoise en est pourtant exclue.
https://www.leprogres.fr/loire-42/2019/03/30/nucleaire-le-gier-va-entrer-dans-le-perimetre-de-securite

Pourtant en cas d’accident nucléaire grave à St-Alban, force est de constater que Sainté pourrait bien être au premières loges des retombées radioactives…
La Loire est par ailleurs un département qui porte encore les cicatrices de plusieurs mines d’uranium dans le nord du département (St-Priest-la-Prugne) ou Areva/Orano entasse les résidus miniers d’exploitation, des millions de tonnes de déchets radioactifs immergés dans un lac artificiel qui contamine déjà les cours d’eaux.

Et si on en parlait ?
http://sortirdunucleaire.org

 

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