RÉVOLUTION CANADA DRY
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La victoire des partis est toujours la défaite des peuples
"... L’intelligence, c’est le seul outil qui permet à l’homme de mesurer l’étendue de son malheur.
L’intelligence, c’est comme les parachutes. Quand on n’en a pas, on s’écrase ..."
Pierre Desproges
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Publicité Canada Dry en France dans les années 80 : « Cela ressemble à une révolution, mais ce n’est pas une révolution. »
C’est une révolution de boue !
C’est la seule croissance soutenable et durable, celle de la vie.
Cette véritable croissance naturelle ignore la mortifère croissance financière à deux chiffres, celle qui pousse les cerveaux serviles à prétendre « améliorer le vivant », en nous mettant, toutes et tous, en durable danger, par tripotages des génomes, cassages et fusions des atomes, et épandages massifs de poisons au nom de « la recherche » du profit maximum.
Peu importe que ce garant législatif du prêt-à-penser entrepreneurial fasse la promotion médiatique de la peine de mort en France, ce qui importe c’est que le traité de Lisbonne permette le retour légal de cette abomination judiciaire, en contradiction avec le choix référendaire du peuple français du 29 mai 2005 !
Nous ne sommes plus dans le respect de l’intérêt général.
La République est factuellement morte
De sanguinaires ploutocrates décident de nos vies. Nous devons nous interroger sur nos véritables actions, et leurs finalités.
Nous devons nous interroger sur la genèse de cette convergence autoproclamée des luttes, qui distille une union consensuelle, alors qu’il est difficile de prétendre, que celles et ceux qui sont contraints à un esclavage salarié, qu’il soit diurne ou nocturne, pourront être équitablement représentés lors des débats et des assemblées, hors du cadre d’une réelle grève générale !
Le pouvoir, les médias, et les directions syndicales, ont-ils judicieusement inventé ce nouveau concept nocturne de l’après journée de mobilisation citoyenne, alias Nuits Debout, pour sciemment diviser la naturelle convergence des justes doléances populaires, et orienter nos efforts loin des véritables terrains de luttes sociales ?
Notre exigence n’est-elle pas de mettre à bas le nuisible régime présidentiel instaurer en 1958 par la constitution de la cinquième république et sa funeste élection d’un monarque tout puissant en lieu et place de la souveraineté du peuple français ?
Ne désirons-nous pas partager équitablement le travail et ses fruits ?
Roger NYMO, avril 2016